ROND- POINT ‘79 ROND-POINT ‘79 ROND-POINT 16,17,18 février 1979 organisé par

Um LA COMMISSION CULTURELLE DE L'ASSOCIATION CANADIENNE-FRANÇAISE DE L'ALBERTA

Jubilé d'Or de Girouxville Fête de FeCONNAÏSSANCE x 0

L

Un actif de 20 millions et qui pourrai

+

Ra J.-Aimé Déry, président du bureau de direction de la Caisse Francalta.

“Nous sommes même en se” a déclaré M. J-Aimé C'est un développe- train d'entreprendre des dé- Déry au’cours de l'ouvertu- ment quasi-phénoménal si marches qui pourraient re officielle des nouveaux l'on tient compte du fait doubler l'actif, de La Cais- locaux de la succursale du que la caisse a débuté en. centre d’Edmonton de La 1972 et compte déjà un Caisse Francalta. actif de plus de 20 millions.

1

5 classes d'immersion l'école Sainte-Marie de Lethbridge es

Prévisions 79 par Benoit

È \

PAGE 3

{nnadionne du Microfilm

18SV19 IWAIXNAG 30 H3IUHNO).

rs TRS os 5

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à:

Page 2 / Le Franco-Albertain, le 5 janvier 1979

= Cours pour adultes

francophones

hiver 1979

CONFERENCES SUR LES VOYAGES

Voyages domestiques et internationaux. “Genre Travelogue”

COURS D'ART ORATOIRE

Comment parler en public, contrôler le trac, COURS DE “LEADERSHIP” Développer techniques leadership de groupe CUISINE CANADIENNE FRANCAISE

Préparation des différents mets de cuisine québécoise et acadienne. Participation des élèves,

DANSE DE BAL Cours préparatoire pour la graduation des élèves en 12e année à l'école Picard. Minimum d'inscription: 32 élèves.

DANSE FOLKEORIQUE

Danse canadienne et internationale,

ECONOMIE FAMILIALE

Buts: améliorer compréhension des pratiques financières,

assurer aux familles la sécurité,

EDUCATION PHYSIQUE 1! :

Développer conditionnement physique, Espadrilles - une nécessité.

EDUCATION PHYSIQUE I!

Développer !a souplesse des muscles. Espadrilles’ - une nécessité.

ETUDE DE L'OPERA

Etude des 6 prochains opéras présentés à Edmonton,

HISTOIRES DES FRANCAIS EN AMERIQUE

Etude des diverses régions françaises en terre Nord-américaine

NUTRITION Etude de la nutrition diététique. Planifier une saine alimenta- tion. Adapté aux personnes inscrites,

PHOTOGRAPHIE

Pour amateurs, Techniques et expérience en portraiture et photographie impromtue,

SK! DE FONDS |

Pour débutants. Méthodes, choix d'équipement, étiquette de piste, entretien des skis.

COUTURE DEBUTANTS

Débutants - Comment confectionner vétements pratiques,

COURS DE FLECHE

Tissage aux doigts.

CROCHET | Techniques de base, principes de motifs et application à la créativité personnelle.

MACRAME

Apprentissage de base, Possibilité de faire des jardinières, murales, etc. Coût additionnel pour matériel requis, PEINTURE A L'HUILE - | Introduction aux principes du dessin, des matériaux, techni- ques de base. Dépenses additionnelles pour matériel. POTERIE

Modeler argile à la main, Emailler, Cuire au four, Matériaux fournis. :

TISSAGE AU METIER *

Pour débutants. Techniques de base sur métier portatif

CATECHESE D'ADULTES But: Comprendre la nouvelle catéchèse. | COMMUNICATION PARENTS—ENFANTS

Compréhension de l'enfant. Apprentissage des techniques de communication afin d'améliorer la coopération et la bonne entente dans la farnille, /

PSYCHOLOGIE DE L'ADOLESCENT

Buts: compréhension de l'adolescent, ses préoccupations, nos attitudes et responsabilités

FRANCAIS COMPOSITION ET

FRANCAIS GRAMMAIRE ORTHOGRAPHE Revue des règles touchant le paragraphe: description, narra- tion, dissertation, discours.

Amélioration du français écrit. Texte E. & O.Bled.

La 2e série de cours commence à la fin de janvier, à l'Ecole J.H. Picard, 8828-95e rue. Ce programme est organisé par l'entremise du Continuing Education des Ecoles Catholiques et de l’A.C.F.A. régionale d'Edmonton. Ce projet est subventionné par le Secrétariat d'Etat avec la participation de Alberta Advanced Education and Manpower.

INTERET PERSONNEL

8 semaines 19h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 22h

6 semaines 19h30 à 21h

8 semaines 20h à 22h

8 semaines 20h à 22h

8 semaines 19h à 20h30

8 semaines 20h30 à 22h

6 semaines 49h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 22h

6 semaines 19h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 21h30

5 semaines ä 19h

8 semaines 19h30 à 22h

‘lundi 31 janvier $25.00 Ecole St. Joseph lundi * 31 janvier $25.00 Ecole J.H. Picard jeudi der février $25.00 Ecole J.H. Picard mercredi 7 mars $45.00 Ecole J.H, Picard

Ecole J.H. Picard

mardi 3 avril $5.00 mardi 30 janvier $25.00 Ecole J.H. Picard $20.00 Ecole J.H. Picard

mardi 30 janvier

Ecole J.H, Picard

mercredi 31 janvier $20.,00

mercredi 31 janvier $20.00 Ecole J.H. Picard jeudi 1er février | $20.00 Ecole J.H. Picard lundi 29 janvier $25.00 Ecole J.H. Picard jeudi ‘er février $20,00 Ecole J.H, Picard

lundi 29 janvier $20.00 Ecole J,H, Picard

jeudi ler février $18.00 Ecole J. H, Picard

lundi 29 janvier $25.00 Ecole J'H.Picard

ART ET ARTISANAT

6 semaines 19h30 à 22h

6 semaines 19h30 à 22h

6 semaines 19h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 22h

. B semaines 19h à 22h

8 semaines 19h30 à 22h

lundi 29 janvier - $20.00 ÆEcole J.H. Picard mercredi 31 janvier $20.00 | Ecole J.H. Picard lundi 29 janvier $20.00 Ecole J.H. Picard mercredi 31 janvier $25.00 Ecole J.H. Picard mardi 30 janvier $41,00 Ecole J.H. Picard jeudi 8 mars | $25,00 Ecole J.H. Picard

DEVELOPPEMENT PERSONNEL

6 semaines 19h30 à 22h

6 semaines 19h30 à 22h

6 semaines 19h30 à 22h

8 semaines 19h30 à 22h 19h30 à 22h

jeudi 1er février $25.00 Ecole J.H, Picard

jeudi 1er février $20,00 Ecole J, H. Picard

mardi 30 janvier $25.00 Ecole J.H, Picard

jeudi 1er février 825.00 Ecole J.H. Picard

mardi 30 janvier

.

L'inscription se fera à l'Ecole J.H. Picard du 15 au 19 janvier entre 19h30

et 21h.

ù _Les personnes de l'âge d'or pourront suivre un cours gratuitement dès que nous aurons 8 inscriptions payées pour ce cours. .

Pour plus de renseignements composez le numéro: 424 - 4714, 8828-95e rue, Edmonton

CP ES

BENOI

DITSKIPENSE PREVISIONS

- Benoit Pariseau

119

+

Le Franco-Albertain, “le 5 janvier 1979 / Page 3

Editorial

Scène Politique .

CR

Difficultés Français / Anglais, . . . . . ...

Alimentation ,

4 ...... 5 6 7

RELIGION Monsieur Guy Pariseau directeur de CHFA Radio-Cana- - : da demandera un congé sans solde à ri so. :

naux durant l’année 1979. Deux de ces derniers seront des AL EOLA. La tournée commencera à Vancouver pour se tte Canadiens. terminée au Nouveau-Brunswick. Lethbridge . . . . . . . + 15 Par ailleurs, Jacques Johnson o.m.i. deviendra le premier Mile Cabane à Sucre sera moins sucrée en 1979 elle Calgmy .....,.. ouosesee 16 évêque natif de la région de Rivière-la-Paix. s’appeliera tout simplement Mile Franco Albertaine. Êlle

“exprimera en françai i é . inville POLITIQUE INTERNATIONALE s'expr a en français mais avec un léger accent You Morinville, .. deuseee. 17 La paix au Moyen Orient n'est pas pour demain, l'Egypte SPORTS : Red Deer. . ..,,.. se... 18 et Israel n’arriveront pas à s'entendre avant l'année 1980. - = ———— :

HOCKEY St-Albert , oser. 19

Le Shah d'lran sera forcé d'abdiquer, il s'installera probablement aux Etats-Unis plus particulièrement en Californie.

te Le président Carter ne sera pas populaire à Taïwan et ce.

pays pourrait fort bien imposer des embargos très impor- tants contre les exportations américaines.

Les Etats-Unis et l'URSS signeront des ententes importan- tes contre la prolifération des armes nucléaires.

POLITIQUE FEDERALE a ————

Croyez le ou non, Pierre Elliot Trudeau sera réélu premier

Les Canadiens de Montréal remporteront la Coupe Stan- ley.

Les Oïlers d'Edmonton participeront aux matchs d'après saison, mais les Nordiques de Québec remporteront la Coupe Avco.

La ligue Nationale de hockey annexera les équipes de l'As-nciation Mondiale pour l'ouverture de la saison 1980.

FOOTBALL CANADIEN

Les Stampeders de Calgary participeront à la finale pour

Télévision , .

,

. 9

11, 12, 13, 14

Les Capucins de Toutes-Aides

(MANITOBA. CANAP U

Octvre de Maric-Anna-\. Ra °

par Sylvie Fronvoeur

En prenant connaissance de l’ouvrape nga:, blié récemment et présenté par mademoiselit

ministre du Canada. Ce sera son dernier terme à teposte. , . Marie-Anna-A. Rov. sous [8 tite V£es Gun: Il annoncera au cours des prochaines années sa retraite et l'obtention de la Coupe Grey. cins de Toutes teus",7 nus ne pouvon, faire autrement que d’sdmirer son immense

se lancera dans une toute nouvelle carrière. Professeur en science politique et écrivain.

Par ailleurs Margaret est sur le point de revenir au hercail. Si elle ne rentre pas au cours de la prochaine année, elle demandera le divorce. |

FOOTBALL AMERICAIN

Les Cowboys de Dallas. seront les gagnants du Super

Bowi. POTS P Maître Louis Desrochers avocat bien connu d’'Edmonton

courage et Son puiriviisme si ft,uvhant, sur les dignes mission.

tant

Marie-Anna-A. Re

de recherches naires capucins et

pr

‘Jeurs dévoues confreres., qui ont su donner le meilleur de leur coeur st de feur temps, de civilisation vraire:t rigantesque.….

afin dr.

construire une oeuvie

nous préseale ces. ame

bassadeurs du (hr:x! d'une facon magistrale, mettant en relief {eur duvouement sans limites et leurs convictions :elipreuses pour favoriser leurs frères de l'Ouest canadien, plus spé- ciualement au Manitoha, en y fondant des paroisses les plus «solides duns ie domain de la foi, soit de la Chétienté

Marie-Anna-A. Roy, nous semble née h's- torienne tellement elle se passionne pour. l'histoire des peuples, el p'us encore à |” gard de son proprè pays, par ses multiples recherches en explorant son passé, désiran! mieux nous faire connaître et apprécier ceux qui ont tant donné e’eux-mêmes pour évangé- hser et Construite ce pays qu'elle aime tant,

aura le choix entre demeurer à Edmonton ou devenir sénateur. | refusera le poste de sénateur pour: un autre aux Nations Unis.

Joe Clark continuera comme chef de l'opposition et son épouse Mme McTeer se lancera en politique.

Le nouveau gouverneur-général Ed Schreyer suivra des

cours de français, il en a grandement besoin. Monsieur Miodrag Kapétanovic professeur à la Faculté

St-Jean, publiera un livre, sur ses observations en Terre

John Turner fera son apparition sur la scène politique, et Albertaine.

sera élu aux prochaines élections fédérales. * La pièce de théâtre “’Le Temps d'une Vie” remportera la

palme en ce qui a trait à la popularité au Théâtre Français d'Edmonton. Marie Andrée Lasalle le trophée de la meil- leure comédienne à ses premières expériences.

Marcel Lambert député conservateur aux Communes d'Ottawa frappera à 150 mille portes lors de la prochaine

campagne électorale et, chose absolument certaine il sera réélu dans Edmonton Ouest. - le Canada. Et avec quelle ardeur elle tient La pièce ‘’Le Bonnet de Fou” de Pirandello décrochera la / à nus entretenir de es valeureux misrion- naires qui nous arrivaient des vieux pays

Les Québécois voteront contre le référendum du parti Québécois à la grande tristesse de Monsieur René Léves- que.

Le. gouvernement fédéral ne trouvera pas de solution aux problêmes des postes. On a malheureusement pas trouvé de remède efficace contre cette terrible maladie, le cancer.

SCENE PROVINCIALE . ———————_—_—_—_—_——_—_—_—————— mm mme Monsieur Lougheed continuera d'accumuler des milliards pendant que les municipalités albertaines continueront de crier au secours.

Monsieur Hort Schmid ministre à “bonbons” gardera son ministère, et bien entendu, continuera d'être très populai- re.

ACFA .

ne L'Association Canadienne Française de l’Alberta s'élira un nouveau président, Daniel Poulin ou.lean Louis Dentinger.

Le budget de notre Association dépassera les 800,000.00 dollars. Pourquoi une somme aussi astronomique? On paiera même les gens pour en faire partie. 25 dollars par famille.

M. François McMahon sera toujours doyen de la Faculté St-Jean. Il ne se représentera pas aux prochaines élections -provinciales. -

dans l'élection de J.P.

palme de comédie de l’année en dépit de l'absence d'André Roy et Normand Bélanger au sein de l'équipe.

Le FRANCO ALBERTAIN présentera encore en 1979 les meilleurs textes publicitaires à la télévision.

Le rédacteur du .FRANCO ALBERTAIN donnera sa démission au cours de 1979 pour accepter un poste de directeur des relations publiques au EDMONTON SUN.

Paui Denis deviendra le nouveau rédacteur avec diminution de salaire.

Léo Bosc secrétaire général de l’ACFA se choquera au cours de l’année nouvelle. Ce sera la première fois de sa vie qu'il entrera dans une grande colère. || pourrait même congédierun de ses employés.

La paroisse de Falher célébrera son 50 ième anniversaire. On commandera pour l’occasion une statue du Père

. Falher... En bronze,

N

Le frère Antoine Kowalzic, de regretté mémoire, qui a œuvré de nombreuses années au Collège St-Jean sera canonisé au cours de l’année 1979. Nous savons, nous les anciens du Collège qu’il a été un des grands responsables Il au poste de chef suprême de l'Eglise universelle. |

Je saisis l'occasion pour vous souhaiter à tous et à chacun une BonneHeureuse et Prospère Année 1979. Que tous les souhaits des lecteurs du FRANCO se réalisent au cours de l'an nouveau.

pour bâtir le nôtre à l’image de leur foi, de leur espérance et de lenr charité si édifiante'

Qui, Marie-Anna-A. Rcy a écrit une oeuvre fort captivante, tant au point de vue psycho-

logique qu’historique, de magnifiques illustrations, ce qui

en outre d'être ornée

repré-

sente de sa part un travail de longue haleine! une présentation fort éloquente

En somme,

tent par le style que var tous les détails et

précieux

renseignements qu’il

nous apporte

pour mieux souligner le dévouement extra- ordinaire de ces missionnaires qui n'ont te- culé devant aucun sacrifice pout glorifier le Maître Etemet!,

tout en venant en aide à leurs frères du Canada.

Cette oeuvre possède loutes les qualités scquises pour figurer avec honneur dans les bibliothèques de tous les pays. plus spéciale- ment du Canada, considerant que cet ouvrage à caractère historique et psychologique est destiné à rendre hommage non seulement à

ces

magnifiques missionnaires défricheurs

du sui canadien, mais aussi à l'endroit des

auteurs historiens,

<

consacse:

autant de leur temps pour nous présenter avec

ardeur,

zèle et amour, ces admirables héros de l’histoire canadienne.

Nous souhaitons à l'auteur, Marie-Anna-A. Roy, tout le succès que mérite un tel ouvrage, suquel nous ‘ajoutons expression de nutre gratitude, ainsi que nos sincères félicitations.

juin 1978

Editions Franciscaines, Ml

. _-

“fes Capucins de toutes - Aides l'auteur: Marie Anna À. Roy,

Montréal, Québec. Prix $6.00 port payé.

Sylvie Francoeur

"… En vente chez

2086 rue Tupper.

urates

me menepemne ee,

| Page 4 / Le Franco:Albeitäin, le 5 janvier 1979"

: Je ne veux

plus recevoir

eeiute moe

votre journal

Chers messieurs,

C'est avec grand regret que je dois vous dire que je ne veux plus recevoir votre journal. Je suis née dans le

: Québec, j'ai suivi ma famille dans l'Ouest en 1916. Nous

avons reçu La Survivance depuis le premier numéro et * ensuite Le FRANCO. J'ai été correspondante pour La Survivance pendant 20 ans, jusqu'en 1964 alors que nous avons déménagé à Edmonton. Ce n’est pas pour des raisons financières, maïs je ne puis pas supporter votre attitude envers notre Premier Ministre. Cela vaut bien la peine * d'avoir un journal français quand vous ne faites que critiquer M. Trudeau. Nous avons l'honneur d'avoir un premier ministre canadien-français. Ce serait à vous de le

Loge pee

: défendre, äu lieu de le critiquer. Votre rédacteur a même:

approuvé"celui qui a écrit que le Canada français serait mieux sans'Trudeau.

Keith Spicer est un autre Dalton Camp. Îl essaie de faire ce que Daiton a fait à Diefenbaker.

Si vous pensez que le Joe Who ticoq Clank ferait un bon prernier ministre vous ne pensez pas long. M. Trudeau a plus de finesse, de diplématie et d'intelligence dans son petit doigt que.tous ses adversaires dans toute. leur personne. °

Vos caricatures me choquent aussi. La dernière vous mettez les libéraux noyés et seulement une main sortie, avec Turner marchant sur les eaux était de très mauvais goût. Ne cherchez pas à enterrer le parti libéral si vite. Ils ne sont pas encore morts.

Comme j'ai dit dans une lettre précédente que vous avez publiée, les canadiens français ont la mauvaise réputation de se couper le cou entre eux. L'histoire se répète encore avec ce fameux René Lévesque.

J'en ai assez dit. Quand il y aura un journal vraiment français, qui engage des hommes pour défendre notre cause, je serai fière de m'abonner. 0

Avec regret,

Mme Juliette Amiot

LE

Alberta, T5J 1M4

_ DE aimer. __.sonprochair

REDACTEUR EN CHEF: Maxim Jean-Louis

MONTAGE: Anna Nowakowski-Hayes SIEGE SOCIAL: 10014 - 10e rue, Edmonton, TELEPHONE: 422-0388 ou 424-9388

LE FRANCO-ALBERTAIN se vend 0.50 cents l'exemplaire, ° .

ess nes

BONNE

ANNEE

Les membres du comité de La Survivance et le personnel du FRANCO-ALBERTAIN

offrent à tous les amis du FRANCO

leurs souhaits les plus sincères pour une bonne et heureuse année 1979.

Merci à tous les lecteurs, ‘annonceurs qui ont ac

rene pan ee

les commanditaires et les corde un fidèle appui

au journal durant 1978.

M. Maxim Jean-Louis,

Bien cher monsieur, :,

Celui-ci rejoint présente- ment presque toutes les ré- gions de la province et je reconnais les sacrifices et les inquiétudes que comporte la profession des média d'in- formation.

Je suis heureux de voir que le FRANCO- ALBERTAIN a ajouté une section d’intérét-général “Les bandes dessinées” à sa présentation. Je vous en féli- cite.

Je vous souhaite beaucoup de succès dans cette entre- prise et je vous pris d'agréer, cher monsieur, l’expression de mes meilleurs sentiments.

Ce supplément, j'en suis certain, intéressera les jeunes et les moins jeunes tout eri influençcant de façon positi- ve la distribution du journal.

G.J. Gagné

Agent d'information

LE

FRANCO-ALBERTAIN

Journal hebdomadaire publié le vendredi,

Membre de l'Association de La Presse Franco- phone Hors-Québec et des Hebdos régionaux,

ADMINISTRATRICE: Francine Gagné

COMPOSITION TYPOGRAPHIQUE: France Guy-Sénéchal PUBLICITAIRE: Maxim Jean-Louis

SECRETARIAT: Danielle Cvr.

Les abonnements au Canada: $12.00 pour un.an et $20.00 pour deux ans

à l'étranger: $15.00

-

Appel de candidatures mixtes

SUREAU DU COMMISSAIRE AUX LANGUES OFFICIELLES liaison

(autorisation sécuritaire CFP : 508 333 002) AGENT REGIONAL

Salarié: $22,695 - 525,473 {en voie de révision) Numéro Concours: 78-PSC/COL-O-WPG-214

FONCTIONS: Recoit les griefs des fonctionnaires at du public; effectue des enquétes; rencontre le public et les arganismes privés pour les renseigner sur les objectifs du Bureau du Commissaire; recueille des renseignements sur les ministères et les organismes fédéraux 4 l'intention de la Direction des études spéciales; représente le Bureau du Commisaire dans la région; colfabore avec les groupes qui s'intéressent à la question des langues officielles.

CONDITIONS de CANDIDATURE: Diplôme universitaire, antécédents de travail en administration et en relations pub- liques. Connaissance souhaitable des programmes des

* fangues officielles. Connaissance des deux langues officiel- les indispensable. En raison de la nature même du poste, la connaissance des deux langues est immiédiatment requise.

Préférence accordée aux résidents du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique.

Pour plus ample informé, appeler Keith Sinclair, (202) 949-2463 à Winnipeg.

Comment se porter candidat

Remplir le formulaire de demande d'emploi C.F.P.367-4110,- on le trouve danses bureaux de poste, les centres fédéraux de main-d'œuvwreçbt les bureaux de la Commission de la : fonction publique du Canada, et le faire parvenir à : a ————

M.K. Sinclair, agent de dotation en personnel Commission de ia fonction publique du Canada 500 - Edifice du Crédit foncier, 286, rue Smith Winnipeg (Manitoba) R3C OK6

Date limite: 12, Janvier 1979 - Prière de toujours rappeler le numéro de référence approprié.

POLITIQUE

Le Franco-Albertain, le 5 janvier

1979 / Page 5

L : par Keith SPICER

se

Le Père Noël gûte nos hommes politiques

VANCOUVER Vous ne croyez pas au Père Noël? Moi si: figurez-vous qu'un de ses lutins m'a glissé en douce un: papier qui fera pâlir d'envie tous mes collègues: la liste des cadeaux de Noël que Saint-Nicolas a apportés aux hommes politiques canadiens pour 1978. .

Peu importe si la plupart de nos hommes d'Etat ont. célébré Noël dans la pure tradition de leurs prédécesseurs au pouvoir: au Sud, aussi loin que possible du Canada.

On peut bien sûr rétorquer qu'au nom de l'unité nationale, nous avons tous le devoir sacré de suivre les canards sauvages au soleil. C’est seulement à la Barbade ou en Floride, en effet, que les* Canadiens anglophones et francophones peuvent se faire des civilités et partager des choses importantes, par exemple, tous en choeur, ‘’crisser””, le climat de leur pays. . Û

Le Père Noël, lui, se moque pas mal de ces absences. Pour lui, le foyer d’un homme politique, c'est l'endroit où, il taisse son sapin de Noël. Et voici ce qu'il a déposé pour chacun de nos bons ou vilains diables de ia chose politique le 25 décembre.

Pierre Trudeau: une boîte pleine à craquer d'humilité, enrubannée de sondages Gallup annonçant que Qui-vous-

savez et les libéraux formeront un autre gouvernement de. droit divin en juin 1979.° LL LÉRBITTAS

Dans une chaussette remplie à ras bord, deux cadeaux fantastiques qui, à coup sûr, assureront la réélection des libéraux. Tous | de la biographie de Joe Clark, à distribuer gratuæement au public en mai prochain la meilleure façon de couler les tories, c'est de donner un portrait fidèle de l'homme qu'ils veulent comme premier ministre. |

Ensuite, un accord préliminaire avec le président Jimmy Carter pour la vente illimitée de gaz naturel albertain aux Etats-Unis. Cette simple action, pour mai également, déguiserait la pagaïe. économique des libéraux en faisant

remonter le dollar canadien.jusqu'au niveau paritaire au

moins. Nos autres exportations en prendraient Un coup, mais pour des libéraux en route pour les urnes, l'initiative serait du tonnerre,

Joe Clark: Le chef conservateur a eu un miroir à charmer magique: n'importe quel garçon de courses du Herald de Calgary peut s'y voir en Charles de Gaulle, en Winston Churchill et ou en Jack Kennedy.

Joe a eu également un train électrique avec des décalques CPR, pour jouer aux sir John A. Macdonald, et une cotte de maille { à porter sur le dos) pour se protéger des inévitables coups de poignard de l’ancien premier ministre John Diefenbaker.

Ed Broadbent: Pour ie chef NPD, y a-t-il cadeau plus exquis qu’un abonnement à vie au journal de droite, le Toronto Sun? Dans le même paquet se trouvait une oeuvre de Lubor Zink, chroniqueur au Sun( et responsable des épidémies d'empoisonnement au Zink}, un petit manuel expliquant en détail avec photos et dessins à l'appui comment débusquer le communiste caché sous votre lit.

L'honnête Ed a également recu un splendide complet veston très habillé pour aller aux réceptions vice-royales de Rideau Hall, la résidence du gouverneur général. René Lévesque avait coutume de traiter Pierre Trudeau de “socialiste en veston de sport”. Que dira-t-il lorsqu'il verra nos deux Ed nationaux ( Broadbent et l’ancien premier ministre NPD Ed Schreyer, le futur gouvernebr-général) débarquer endimanchés comme des banquiers de Bay street? Eaïifiant, non? -

René Lévesque: Fuisque nous parlons du premier ministre du Québec, signalons que Santa Claus (mais oui, le Père Noël est bilinguel ) lui a apporté un cadeau extrêmement approprié: une brochure de 5,364 pages, en anglais, résumant les principales vertus de la souveraineté- association, En appendice se trouve la meilleure partie: un glossaire qui définit les 36 manières de parler indépendan- ce tout en donnant l'impression qu’il s'agit seulement de fédéralisme un peu réchauffé.

M. Lévesque à aussi reçu quelques accessoires de scène pour mettre en relief son jeu toujours plus rassurant d'Hamiet constitutionnel: Etre et ne pas être indépendant, en même temps. :

Tout d’abord une pipe de bruyère écossaise: au lieu de tirer frénétiquement sur sa cigarette, M. Lévesque pourra faire ces lents et pensifs ronds de fumée qui donnent une subtite et angélique auréole.

Ensuite, le tout dernier disque de la nouvelle chanson -berceuse des péquistes à l'usage des Anglos agités, intitulée ‘’ Valium et violons”. .

Bill: Dävis: Comme le premier ministre de l'Ontario, lui, |

a déjà fait sa reconversion politique du cigare à la pipe, qu'est-ce. que le Père Noël a bien pu lui apporter? De toute évidence, des séances de thérapie de l'élocution pour arriver. à singer le grondement rocailleux de John Robarts, son toujours crédible prédécesseur. Lorsque M. Davis apprendra à résonner’Comme Robarts, on pourra croite,.en l'écoutant-dans.les conférences:fédérales.- provinciales,:que sa syntaxe tortürée est le:fa nuancé. To

‘abord, un bon pour 500,000 éxemplaires. .:

un-esprit-politique fort:

J'allais .-oublier la trousse pour cambrioleur amateur de :

M. Davis, spécialement équipée pour dénicher un ou deux milliards de la Bangue du Saint-Esprit albertaine, le fameux Fonds de l'Héritage constitué avec les redevances du gaz naturel et du pétrole.

Peter Lougheed: Un modéle réduit de la Grande Muraille de ine, un petit jouet merveilleux pour un homme qui s'inquiète des invasions d'assistés sociaux de l'Est canadien ou du déferlement de réfugiés vietnamiens,

* sans parler de rapaces comme le premier ministre Bill Davis

qui veut avoir ses entrées dans la caverne d'Ali Baba souterraine de l'Alberta.

Comme livres de chevet, M. Lougheed a eu Touchez pas au grisbi (immortalisé à l'écran par Jean Gabin) et, pour assurer sa légende outre-tombe. Comment construire une pyramide, par Toutankhamon.

Allan Blakeney: Ce nouveau riche, le premier ministre NPD de la Saskatchewan-a reçu une rare gâterie: l'adresse du tailleur de M. René Lévesque . De cette facon, avec ses 3,000 ans de réserve en potasse, il pourra tout de même maintenir son image ‘classe ouvrière” en portant des complets qui grimacent.

Richard Hatfield: Le premier ministre du Nouveau- Brunswick a eu une photo encadrée et dédicacée de

l'ancien maire de Moncton, Léonard jones; ce cadeau était’

destiné à l'encourager dans sa politique de respect des droits linguistiques acadiens. Bill Bennett: Le premier ministre de la Colombie-Bri- tannique a eu une inscription cadeau à un cours d’auto- hypnose grâce auquel il pourra se convaincre que son plan pour un Canada à cinq régions est vraiment tout à fait différent de celui proposé il y a dix ans par son révéré papa, W.A.C. Bennett. Tous les autres premiers ministres provinciaux: ont recu la promesse solennelle que le Père oël ne les oublierait pas l’an prochain.

La majorité sait utiliser ses armes à feu de façon

| responsable. Certains, L Ni _ malheureusement...

Selon la loi régissant les armes à feu au Canada, quiconque désire acheter, emprunter ou échanger une arme doit être muni d'une Autorisation d'acquisition d'armes à feu.

D'un coût de $10.00, l'autorisation est valable partout au Canada pour cinq ans, durant lesquels le détenteur peut se procurer autant d'armes qu'il le désire.

Ce nouveau régime vise à exclure les personnes de com- portement violent, ou dont les antécédents révèlent des délits crirninels désordres mentaux accompagnés de violence. .. -

L’AUTORISATION D’ACQUISITION D'ARMES A FEU N’EST PAS REQUISE . POUR LES ARMES QUE L’ON A DEJA,

NI POUR L'ACHAT DE MUNITIONS.

POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS APPELEZ VOTRE POLICE LOCALE

L'important,

c’est la vie. Soliiciteur général: Solicitor General Canada. Canada D

1%

Page 6/Le Franco-Albertain, les5 janvier 1979. .

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La bonne alimentation: faut y penser: Le lait, c'est du solide !

de poudre de lait écrémé,

c/o MATIERE Ainsi, comme vous pouvez C Ë Comment se fait-il qu'il JPRODUIT LAITIER QUANTITE CALORIES GRASSE le constater, le lait, le yo- res un excellent succé- n'est plus permis de boire du gourt et le fromage à pâte Dane de la crème fouettée à lait lorsqu'on a dépassé l'âge | ferme sont les meilleurs pro- PA5Se reneur en calories et de la tendre enfance ? Est- duits à consommer. Pensons © 9fas-et à aute teneur en ce qu'on serait soudaine- maintenant à leurs façons calcium. C'est un régal pour ment allergique au breuvage d'utilisation. Le lait peut- le Petits et les grands. qui nous a permis de croître À Lait homo Î tasse 152 3.5 o/o être utilisé de plusieurs fa- | sainement jusqu'à cet âge? cons: lait battu, pouddings, 4 Une attention spéciale Comment une telle décision À 2 pour cent - 1 tasse 116 2.0 o/o soupe crème: la poudre de on être portée à certains de priver notre organisme de 0.1 o/o Llait écrémé peut être ajouté ques cr prêts- à-servir, lles- ce bien-fait peut-il avoir des À Lait écrémé 1 tasse 80 à de nombreux plats en cas- AUels laissent à penser qu'ils conséquences néfastes sur 2.0 o/o serole et produits de boulan- tre le produit laitier notre santé? Comment re- | Lait au chocolat 1 tasse .. 223 gerie; le lait évaporé donne (°*emple,:poudding prêt-à- médier de façon efficace à ° | 1.7 o/o plus de richesse à certains servir. Si le premier ingré- ce manque? Les produits | Yogourt nature tasse 125 desserts, potages et sauces à | in est autre chose que du laitiers viennent à notre res- : : | ! | base de lait. Pour ceux et Re par exemple}, ce cousse avec de bons trucs. ‘À Crème glacée 1- 1/2 tasse 380 10.0 o/o celles dont les calories ter. n'est pas un produit

comptent pour beaucoup, ie

Lait glacée 1- 1/4 tasse 250 4,5 o/o lait écrémé, le yogourt, le | , LS [fromage cottage et celui au. A0'$ Maintenant, il n'en Sachons d'abors que le Î Fromage cheddar :.. . 1-1/3 oz 156 30.0 o/o lait écrémé sont des sources- “tient PIUS qu'à vous à explo- Guide alimentaire canadien . _ L minceur idéales. Une garni- ‘7 l'univers des produits lai- donne les recommandations À Fromage cottage à la crème 1- 1/4 tasse 325 4.2 0/0 ture fouettée faite à partir tiers. Bonnes découvertes -

et bon appétit...

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suivantes en ce qui a trait au lait et produits laitiers:

Enfants jusqu'à 11 ans: 2 à 3 portions par jour (bébé non inclus).

Adolescent: 3 - 4 portions par jour

Adulte: 2 portions par jour

Femme enceinte ou allaitan- 1 te: 3 - 4 portions par jour.

Ce groupe des produits laitiers comprend toutes leë D -. 2e pe ete çe ee een ee sortes de lait (entier, partiel LS | SK 173 à #1 L3 t} : N lement écrémé, frais, évapo- et en poudre) et divers produits tels que le fromage, ET ss le yogourt, le lait de beurre, ln "1 FU v  KL: À [@ les pouddings au lait et les à de vd Nb de © produits laitiers glacés. 1 à portion peut-être 1 tasse de

*% lait, de vogourt, ou de fro- Wii _ | : : : _ ‘Un seul pix x par numéro complet (non décomposeble)

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mage cottage, ou 1 1/2 oz de fromage cheddar ou Si laliste ci-dessus et la iste officielle des numéros gagnants provenant de l ordinateur ne concofdent pas, celle

transformé. de l'ordinateur prévaudro.

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4 Rappelez-vous qu'il est toujours valide pour le tirage du Nouvel An, le 5 janvier 1979, et pour le tirage principal. le 2 féwier 1979.

vision en lumière restreinte.

Maintenant, faisons con-.Æ naissance de plus près avec certains de ces produits. Le tableau. suivant vous donne pour différents produits lai- tiers la quantité nécessaire qu'il vous faut consommer afin d'obtenir le même ap- D | « port en calcium. Les calories : Te. ee . . et le pourcentage de matiè- —— L ! | t 4 { | | res grasses sont également | O erie na lona e

indiqués.

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de l'Akerta : |

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Etre membre de l’'ACFA c’est une nécessité pour tout Franco-albertain

Le

, . détermine A | À | { { Vous êtes avisés par la présente que l'Exécutif provincial de l'ACFA a

nommé un comité de candidatures, en vue de l'Assemblée générale annuelle qui aura lieu à l'Hôtel Macdonald, le 17 février prochain.

à le rester.

Le comité de candidatures, présidé par le Dr Jean Paul Bugeaud, invite tous les membres actifs ou à vie de l'ACFA qui désireraient poser leur candidature à--la : présidence provinciale, à remplir une formule qu'ils peuvent obtenir au secrétariat général.

Toute candidature devra être appuyée par trois membres actifs ou à vie de l'ACFA (article 35, Statuts et Règlements).

Si aucune candidature n'est reçue avant l'assemblée générale annuelle, le : comité devra suggérer le nom d’au-moins un candidat (article 36, Statuts et Règlements). . :

Dr Jean Päul Bugeaud

1 à on ASSEMBLEES ANNUELLES REGIONALES Toute. déclaration de candidature devra être retournée à temps au | | |

secrétariat général de l'ACFA, 10008, 10e rue Edmonton, Alberta , T5J 1M5, sous pli fermé, et adressée aux soins du Président du comité de

candidatures. | ST-PAUL 13 JANVIER Des mises en nomination peuvent être également faites par un membre î RED DEER f4 JANVIER actif ou à vie à l'assemblée annuelle, à condition toutefois que la personne mise en nomination soit présente ou ait manifesté par écrit, son RIVIERE-LA-PAIX 27 JANVIER consentement. ; Ê . - 2 Tout candidat à la présidence devra être résident de l'Alberta (articel 37, EDMONTON 8 JANVIER Statuts et Règlements). MORINVILLE LEGAL 3 FEVRIER Le directeur général BONNYVILLE 8 FEVRIER Léo Bosc LETHBRIDGE 10 FEVRIER

Edmonton, le 3 janvier 1979

Joyeux anniversaire de naissance aux membres suivants”

SAMEDI, LE 6 JANVIER

Me Georges A. ARES, Edmonton Richard CARRIERE, Edmonton G. Lionel CROTEAU, Fort Kent Mme Cécile DROUIN, Cuy Edouard FOURNIER, Edmonton Mme Reine LAUZE, Falher Dale NIWA, Bonuyuville Thomas J, PELLETIER, Morinville Léonard ROUSSEAU, Edmonton

DIMANCHE, LE 7 JANVIER

Mme Mignonne ARCAND, Red Deer

Ovide BROUSSEAU, Bonnyville

Mme Nicole CONSTANT, Lethbridge

Marcel CORBIN, Grande Prairie

Mme Lâure-Arnu DALLAIRE, St-Paul Paül LEBLANC, Edmonton

LUNDI, LE 8 JANVIER

Johan BRINKMAN, Sherwood Park Mlie Louise M. DUBUC, Fegreville Mme Louise FOURNET, Edmonton Marcel MONFETTÉ, St-Isidore Armand PREVILLE. Grande Cache

Membership et information 429-7611 10008 109 ru

Claude ROSS, Lethbridge Mme Jeannine TURCOTTÉ, Cirouxville

MARDI, LE 9 JANVIER

Bernard CHARTRAND, Bonnyville Raymond J. CGARON, Valleyview

Mile Noëlla JACQUES, Edmonton Cérärd JASMIN, Cuy

Mme Lise LABERGE, St-Albert

Carl OSTOPCHUK, Whitecourt

Sr Madeleine c.s.e, RICHARD, Edmonton Philip ROBINSOË, St-Paul

Mme Marielte TRÉMBLAY, Lethbridge Mme Suzanne VAILLANCOURT, Calgary

MERCREDI, LE 10 JANVIER

Philias AMYOTTE, Edmonton

Mme Margaret BOUCHARD, Lethbridge Mlle Dolorès CHABOT, Toronto

Mme Alexandra A. DALTON, Edmenton Oscar F'AUCHON, Calgary

Mlle Agathe GAULIN, Edmonton

Oscar LEBEL, Edmonton

Mme Agathe ST-PIERRE, Edmonton Henri VAN BRABANT, St-Paul

JEUDI, LE 11 JANVIER

* Daniel BERUBE, Edmonton

Raymond BRISSON, Calgary

Mme Cécile DESROCHERS, Red Deer Mme Monique IBARRA, Edmonton Mme Huguette LAMANE. Lethbridge Mme Medoru LECHASSEUR, St-Albert Mme Juliette LUSSIER, McLennan Gérard PELLETIER, Morinville

Christine TREMBLAY, Peace River

VENDREDI, LE 12 JANVIER

Sr Monique s.c.e. BEAULIEU, Arborfield Michel C. BERUBE, Beaumont Mme Pierrette BOUCHER, High Level

| Mme Léontine DEMERS, Edmonton

e Edmo

Paul DESCHÈNES, St-Albert

Mme Marthe HERIVEAL, Picardville Mlle Shelley KSENYCH, Lethbridge Mme Irène A. LACHAMBRE, Edmonton Mme Albertine LANGLOIS, Edmonton Gérard Ï. MAGNAN, Beuumont

Mme Pauline SYLVESTRE, Bonnyville Patil ST—-LAURENT, Jeun Côté

M. Jacques TREMBLAY, Lethbridge

nton ALBERTA T5J 1M5

A

(MAGAZINES et VARIETES)

09:30 11:00 11:30

24:08

LA VIE QUOTIDIENNE L'AMI BOULANGER LES COPAINS D'ABORD

ALLIAGE

ROGER BOUCHARD

RAPPORTS DES MARCHES DES GRAINS. . DES ANIMAUX.

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08:00 LE MONDE CE MATIN 12:00 LE MONDE MAINTENANT 13:03 PRESENT NATIONAL

17:00 DE TOUT LES POINTS DU MONDE :

17:20 AU RYTHME DU MONDE

20:00 LE MONDE CE SOIR

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CHRONIQUES PORTANT SÛR DES SUJETS. AUSSI DIVERS QLE L'APICULTURE, L' HORTICULTURE, LE JARDINAGE, LES BOISES, LA CHASSE ET LA PECHE, LES PERSPECTIVES ECONOMIQUES

ALBERTAINES, CANADIENNES ET MONDIALES...

CONSETES ET CONCOURS D'AGRI CULTURE CANADA... MUSIQUE D'AMBIANCE CAMPAGNARDE ET CHANSONS FOLKLORIGUES. .. HUMOUR DE L'ANIMATEUR NORMAND FONTAINE... C'EST "EN QUARTS ET SECTIONS" DU LUNDI AU VENDREDI ENTRE 124.30 ET, 134, ET ENTRE 134.30 ET 15H. SUR LES ONDES DE CHFA... LA VOIX AGRICOLE DE RADIO-CANADA EN ALBERTA.

LE MARCHE AUX PUCES 09:05-09:38

animé par Normand Fontaine... pour l'achat, La vente ou l'échange d'objets inutilisés... ou inusités:

GIROUXVILLE La fête de clôture du Cinquante- naire de Girouxville a été impressionnante autant au point de vue religieux que social.

La célébration com- mence à 14 heures par un diaporama sur l'historique de Girouxville. De longues heures de recherches et d'efforts ont contribué à faire revivre ces 50 années passées. Le révérend Père Roger Prieur (imitant la voix d’un vieillard) expli- que les scènes qui se dérou- lent sur l'écran. Quelle mer- veilleuse leçon d'histoire pour les jeunes qui n'ont pas connu cette époque.

A 18 heures, Mgr. Henri Légaré et neuf prêtres de la région défilent en pro- cession solonnelle . dans l'Eglise, comme on le faisait aux grandes fêtes religieuses de jadis. On remarque les Pères Roger Prieur, curé de Girouxville, Clément Des- rocher, René Bélanger, Be- noît Frigon, Albert Bou- chard, Oscar Pinard, Denis Dubuc, Wilfrid Dubé et Clé- ment Richer.

Mme Dolores Nolette d'une voix claire, harmo- nieuse et chaude explique les différentes parties de la messe. Les deux servants de messe sont M. Albert Simo- nesu ct M. Aimé Anctil, deux pionniers.

La messe des Anges est chantée en latin comme on le faisait au début de la paroisse afin de rendre hommage aux pionniers. Le choeur de chant est sous l'habile direction de Mme Evelyn Rochon avec Mme Marcella Lorain à l'orgue. Les lectures sont faites par Lucie St-André et Norman Doucet.

Mgr. Légaré entonne le ‘‘Gioria’’ comme c'était

. d'usage avant le renouveau

dans l'Eglise. Dans 5on homélie Monseigneur cite: “Nous sommes dans la joie aujourd'hui parce que vous avez joui pendant cinquan- te années de curés fidéles et de paroissiens qui ont une piété toute spéciale envers Marie. Un Jubilé d'Or est un temps de souvenir, un temps aussi de reconnais- sance. !! ne faut pas oublier que votre belle paroisse fait parti d'un diocèse. Le tissu même de la paroisse, la

-Aibertain, le 5 janvier 1979

IERE LA P

à Jubilé d'or de Girouxville

Fête de reconnaissance

toile, ce sont les paroissiens

. qui font monter et grandir

cette communauté qu'est l'Eglise.’ Pendant sa récen- te visite au Vatican les der- nières paroles du Pontif Jean Paul il étaient: ‘’Tous vos fidèles sont dans mon coeur.”

Monseigneur félicite aus- si le révérend Père Clément

Desrocher, prêtre résident à :

Girouxville depuis 15 ans qui fête son 40e anniver- saire de vie sacerdotale.

Un moment de silence est gardé en mémoire de nos chers disparus de la paroisse, et aussi afin d'ex- primer la sympahtie et la

“peine que les paroissiens

ressentent à l'annonce de la mort accidentelle survenue sur la route le 7 décembre de deux des leurs: Mme Alice Bégin et son fils Jean.

A l'offertoire un groupe de pionniers: Jos Doucette, Oliva . Dufresne, Béatrice Aubin, J.A. Boisvert, Geor- ge Lanctot Irène Soucy, Adrienne Dumont, Stepha- nus Soucy. L.P. Houle, Ro- ger St-André, Cora Charest, Alice Benoit, Eva Couillard,

Jos Laverdière, Ernest Pa-

rent et J.B. Guidon, offrent les richesses de la région: du blé, du miei, des fruits, des fleurs et même un mo- dèle miniature de la pre- mière Eglise de Girouxville.

Après la cérémonie reli- gieuse en se rend au gymna- se de l’école pour un déli- cieux banquet. À la table d'honneur nous remar- quons: M. Léo Bosc, sec. général de l’A.C.F.A. pro- vinciale, Louis Sylvian mai- re de la municipalité Smo- ky River, Mme Jeanne Cun- ningham épouse du maire de Girouxville, André No- gue, représentant de Secré- tariat d'Etat, M. Roberts, Nadia Korpus, représen- tante régionale du Départe- ment de la Culture, Simone Sylvain présidente des Da- mes Chrétiennes, Aimé Anctil, pionnier, Jeanne Motut, Roger Prieur, Mgr, Légaré, Clément Desrocher, Mme Henri Paule Anctil présidente du Comité du Cinquantenaire, Roger Mo- tut président provincial de l’A.C.F.A., Beñoit Frigon, ancien curé de Girouxville, René Bélanger, prêtre origi- naire de Girouxville, Mme Aline Houle, M. et Mme Robert Girard président du

Comité de Finance, M. Roy Cunningham, maire de Gi- rouxville et M. Roger Hour- le, Maître de Cérémonie.

Celui-ci invite les digni- taires à adresser la parole.

1) M. Roy Cunningham,

maire de Girouxville sou-.

haite la bienvenue à tous et remercie tous ceux. qui ont mis la main à la pâte pour faire de cette fête un suc- cês.

2) Mme M.P. Anctil remner- cie la population de Gi- rouxville pour leur partici- pation. Elle offre au révé- rend Père Prieur deux pia- ques: la première avec les

noms des 18 prêtres qui ont.

oeuvré dans la paroisse. La deuxième plaque donne la liste des noms des parois- siens.

3) Le Père Prieur se dit embarassé d'accepter ces plaques car il n'est à Gi- rouxville que depuis 2 ans. C'est au Père Clément Des-

rocher que revient cet hon-

neur.

4) M. Louis Sylvain se dit fier d'être natif de Giroux- ville. Ses parents étaient du nombre de ces nobles ancé- tres. il nous raconte briève- ment l'historique de la ré-

gion depuis la pré-histoire-

quand les Castors étaient maître ici-1e site paroissial à Dréau qui fut déménagé à Girouxville en 1928, l'Egli- se bétit en 1929, l'école de deux classes avec 43 élèves en 1930 et ie progrès ac- complit depuis.

5} M. André Nogue apporte les souhaits du Secrétariat d'Etat, M. Roberts.

6) Nadia Korpus représen- tante régionale du Ministre de la Culture de l'Alberta félicite le comité du 50e pour la bonne entente et l'enthousiasme qui a rêgné tout au long des prépara- tions de la fête autant en juin qu'en décembre. Elle apporte le message de Joyeux Noël de Horst Schmidt.

7} Valère Grenier, président

de l'A.C.F.A. régionale, présente le Dr. Roger Mo-

Père Clément

tut président de l'A.C.F.A. provinciale.

8) Celui-ci demande aux gens de la région de rester fidèle à la culture que leurs pères et grand-pères leur ont transmise. | n'y a qu'une façon d'apprendre une langue C'EST DE LA PARLER. Présentement il y a un grand mouvement chez les anglophones d'ap- prendre le français et de bien le parler et nous fran- cophones que faisons-nous de ces richesses? ?

Plusieurs présentations ont ensuite été faites au Desrocher pour ses 15 ans de service. Une bourse offerte par les paroissiens, Une plaque des Dameès Chrétiennes et un magnifique couvre-pieds pi- qué fait à la main par les membres du Club Etoile avec le nom de chaque fa- mille inscrit dans lés carrés.

M. Cunningham, au nom du député et Ministre d'Agriculture, Marvin Moo- re, présente Un écusson- souvenir aux pionniers qui

Raymonde Aubin ( 837-8208 )

résident encore à Giroux- ville.

Plus tard dans la soirée

-on présente un ruban sou-

venir à chaque dame pion- nière et Mile Simone Dour-

cet récite un poème en leur

honneur.

Au programme d'ama- teur, organisé par Mme Thérèse Begin: figurent les majorettes de l'école de Gi- rouxville, divers chants par la chorale locale, dirigée par Mme Jocelyne Rochon, une gigue par M. Emile Doucet un poème “Cher Pasteur” par Mile Rachel Doucet.

M. L. Laberge a ressus- cité le Père Giroux, agent de colonisation et fonda- teur de Girouxville, avec une conférence comme il avait en faire beaucoup à cette époque pour emme- ner des colons dans l'Ouest.

Le clou de la soirée est la pièce en deux actes: “Un mari pour Jacqueline” par un groupe local. Les acteurs sont: Lucienne Pitre, Mme Agatte Doucet, Mme Francine Tardif, Denis Houle et Albert Fontaine. Cette soirée était organisée sous l'égide de la ‘‘Débä- cle”.

Le Comité du 50e mérite félicitations et remercie- ment de toute la région pour cette magnifique fête.

Tous les membres du co- mité profitent de l’occasion pour remercier très sincêre- ment tous les paroissiens qui ont si bien collaboré à faire de ces fêtes un grand succès: Nous espérons que ces grandes festivités ont permis de refaire des liens profonds ou encore créer une union plus intense par- mi la grande famille Cana- dienne-française de Giroux- ville. Merci à tous ! Joyeux Noël et Sainte Année |!

EE

Eee)

nn REMERCIEMENTS

FALHER Mme Samuel Boudreault désire remercier tous ceux qui lui ont té- moigné de la sympathie lors du décès de M. Samuel Boudreault soit. par offran- de de messe, assistance aux funérailles, ou de quelque manière que ce soit.

oo RE

LS

Programme | Semaine du 6 de la télévision | au 12 janvier 1979

1

Sylvie Varten

Un spectacle raffiné

En première partie des Beaux Dimanches, le 7 janvier à 19 h 30, Faut voir ça présente aux té- léspectateurs de Radio-Canada Sylvie Vartan,

samedi

6 janvier

7h55 OUVERTURE ET HORAIRE

8h00 L'ÉCOLE DE SKI DE FOND SUNLIFE De Bantf,

8h39 PASSE-PARTOUT Emission du ministère de |l'Edu. cation du Québec, «Feuilles mor- tesr.

Sh00 CANDY . «Le Voyage vers l'inconnu».

8h36 KARINO «La Lutte pour la vie. [ire de 2), Grâce à la lutte passionnée pour sauver Karino, celui-ci guérit.

16h00 AU COIN DE MA RUE .

. Aventures de deux enfants vi. vant à Montréal. Rech, et scénario: Anik Dousseau et Ma- rie-Francine Hébert, Narratrice et réal: Anik Dousseau. Prod.: Via le Monde inc.

10h30 LES HÉROS DU SAMEDI “Kayac en piscingr, Au centre Claude-Robitjara, Animateur: Pierre Dufault, Analyste: John MoDermott, Réal: André Latour, 41h30 FÉLÉJEANS Magazine jeunesse. Rech: Dia. ne England et Elizabeth Gagnon,

ément : 4 pages

42h00

13h00

44h90

15h09

46h00

_ EVET voivnsl ol .nisediA-onsr4 1 | OF ous Le Franco-Albertain, ie 5" janvier 197977 Page 11

Volume 13 numéro 2

Chroniqueur: Dominique Arel. A- nim.: Jacques Lemieux. RHéal.: dt. Paquette et Max Cacopardo. LES CIRQUES DU MONDE Animateur. Jean Richard, Réal: lan Smith. «Un cirque dans Îa ville», Johnny, Jimmy et derry, voitigeurs à cheval, de Suède. Les French, clowns de Belgique. Les Augustes de sairée, Jacko Fossett et Little Büfy, d'Angle- terre. Les chiens footballeurs de Dogsi, match commenté par Thier. ry Rofand, d'Allemagne. Les An- tares, trapèze et perche sérienne sous un avion, de France, La ca. valerie Hofmann, présentée par Yasmine Smart, d'Angleterre, Les grandes illusions de Lee Pee Vil. te, du Danefiark,

LA COURSE AUTOUR DU

MONDE

Concours permettant à huit jeu. nes francophones de fiimer pen. dant six mois les sujets de feur choix sur chacun des continents. Quatre pays participent à cette course: la France, le Luxembourg, la Suisse et le Canada, Anim.: Alain Stanké, Réal. Henri Pari- zeau, «Île semaine de la course», FEMME D'AUJOURD'HUI

“Trois étoiles et cina fourchattes ou l'institut de tourisme gt d'hô- tellerie du Québecr. Visite de l'institut et rencontre avec des étudiants et avec M. Antoine Sa- muelli, responsable, Int: France Nadeau, Réal: Nicolas Doclin.

LE 60e ANNIVERSAIRE DE LÉONARD BERANSTEIN

Les membres du National Sym- phony Orchestra ds Washington et son directeur musica Mstilav Rostropovitch, des comédiens, des chanteurs et des solistes rendent hommage au céièbre chef d'orchestre. Au programme: *Greeting Prélude, {(Stravinsky): Extr. du »Songfest», «West Side Story», «On the Townr et <Won- dertut Town» [L Bernstein} et le ter mouv. du «Triple Concer- to» (Beethoven).

PHILIPPE, LE PETIT

Philippe est la risée de tous parce qu'il est très petit, Un jour, la flüte qu'il possède devient en. chantée et lui permet de faire grossir rapetisser des objets. Avec Andy Graissel et Katrin Jakobeit, Réal. H, Zschuche.

Pagé 12'/ Le Etc MES Ein, le’ 5 janvier 1979

Emi. ee PRIN DL , 19

L'Observateur le 7,20h30

Redécouvrir ce que nous sommes

Une troisième édition du ma- gazine culturel l'Observateur se- ra présentée dans le cadre des Beaux Dimanches, le 7 janvier à 20 h 30.

Sous le titre Mon pays bleu, on tentera de comprendre pour- quoi le bleu est si important et si fréquemment utilisé au Qué- bec. Si on s'arrête un instant pour y penser, on retrouve du bleu partout dans la Belle Pro- vince. Qu'il s'agisse des sigles gouvernementaux, des sigles d'offices ou de régies, des vai- tures de police, des autobus, du métro ou de dépliants publicitai- res, il semble qu'ici plus qu'ail- leurs, on choisisse le bleu de préférence aux autres couleurs. L'Observateur tentera de savoir comment on peut définir le bleu, quelle est son influence sur l'être humain et pourquoi le Québec est si «bleu».

Trois invités nous donneront leurs opinions sur le sujet. fl s'agit de MM. Jacques Bou- chard, de BCP; Marcel Saint- Germain, de la compagnie Bell Canada, et de Jacques Berge- ron, psychologue du Centre qué- bécois de la couleur. Recher- che: Jean V. Dufresne.

On a des p'tites nouvelles pour vous autres

. Cette chronique nous appren- dra ce:que des écoliers franco- phones de toutes les régions du Canada savent ou ne savent pas des autres francophones du pays. Réalisée grâce à une sub- vention de {a Fondation d'étu-

17h00 BAGATELLE

«Caliméro va à la fête., «Contes et légendes»: «La Princesse Pou- cette». «Barbapapa»: «£n ski», «Le Capitaine Marc Simon». «Les Contes de Bolek et Lolek»: «La Lampe d'Aladin» «Magoo retourne au collège» «Mini-Proutt»: «Les Vacances». «Pouf et Riqui»: «Le Tour du chapeau». «Bugs Bunny». «Le Rouge et le bleu»: «Le Mé- gaphone»,

18h00 LA SOIRÉE DU HOCKEY Au Forum de Montréal, les Ca- nucks de Vancouver rencontrent is Canadiens. Reporters sportifs: René Lecavalier, Gilles Tremblay,

Richard Garneau et Lionel Duval.

Réal. Michel Quidoz et Jacques Primeau,

20h30 HEBDO-SAMEDI Magazine d'information. Anima- teur: Achille Michaud. Revue de presse: Claude Bisaillon, Réal.: Michel Beaulieu.

21h39 LA FEMME BIONIQUE «la Menace». L'OSI se rend compte d'un vol effectué par or- dinateur à partir d'un terminal situé à l'Université du Sud,

22h30 LE TELEJOURNAL

22h45 DERNIERE EDITION

23h00 LES AFFAIRES DE L'ÉTAT Le Parti conservateur.

23h10 CINEMA - Un mariage au vert (A New Leaf). Comédie réalisée et interprétée par Elaine May, avec Walter Mat- thau et George Rose, Un hom- me à dilapidé la fortune héritée de son père, Pour continuer son train de vie, il ne lui reste qu’à épouser une fille riche, quitte à s'en débarrasser après le maria- ge (USA 70). -

3

dimanche

7 janvier

8h25 OUVERTURE ET HORAIRE 8h30 PASSE-PARTOUT «les Labourss. 9h00 WICKIE Dessin animé réalisé par Alois

des du Canada, en collaboration “avec la faculté d'Education de l'Université Laval, cette “expé- rience a été menée par Jean Bé- langer, professeur titulaire à la faculté des sciences de l'Educa- tion de cette Université. Des é- lèves ayant participé à l'expé- ‘rience, ainsi que M. Bélanger seront invités à nous communi- quer leurs découvertes. Recher- che: Claude Fleury.

Les conservatoires en conserve Plusieurs invités nous diront ce qu'ils pensent des conserva- toires de musique du Québec. Ces conservatoires remplissent- ils leur rôle, répondent-ils aux besoins des étudiants et les préparent-ils vraiment à l'exer- cice de leur art? Divers témoi- gnages d'étudiants, de jeunes professessionnels, de profes- seurs et de compositeurs nous éclaireront sur ces questions. Recherche: Lise.Richer-Lortie.

Le Tarzan de Plessisville

Au moment les profession- nels du cinéma s'interrogent sur les projets gouvernementaux qui les concernent, il en est qui pratiquent cet art sans se pren- dre au sérieux. Cette semaine, France Nadeau rencontrera un ci. néaste amateur qui travaille de- puis des années à réaliser des films avec les gens de son mi- lieu, qui racontent toutes sortes de choses. Gabriel Baril nous parlera de son travail, de ses créations et de son premier film, Tarzan, qui met le héros aux prises avec des Indiens qué- bécois. Recherche et entrevue: France Nadeau.

Schardt et Josef Gühlen. «Le Supplice de l’eau», Les émissai- res du nouveau roi pillent tout sur leur passage. Wickie veut dé- tourner l’eau de fa montagne.

9h30 GRISU, LE PETIT DRAGON La vie de deux dragons: le père, Fumé, est heureux de son sort contrairement à son fils, Grisu, qui veut changer le monde et qui se montre rebelle «Le Roi de la botanique».

9h45 UNE FLEUR M'A DIT Des fleurs marionnettes invitent les jeunes et leurs amis à des fêtes. Textes: Henriette Maijor. Musique: Mario Bruneau, Voix de Jacques: Thisdale, Armand Labelle et Yolande Michot, Marionnettis- tes. Pierrette de Lierres. Guy Beauregard et André ‘Laliberté. Réal.. Réal Gagné. «La Lumière»,

10h00 LE JOUR DU SEIGNEUR De Matane. Célébration de la messe nar l'abbé Georges Ouel- lette, Présentateur: le père Emile Legault, Réal: Gilbert Langlois, CBGAT-Matane.

11h00 FOOTBALL AMERICAIN Match de championnat, Com- mentateur: Raymond Lebrun, A- nalyste: Jean Séguin, Animateur en studio: Serge Arsenauit, Réal.: Julien Dion.

14h00 INITIATION A LA MUSIQUE

«Structure d'une compositions. Animateur et chef d'orch. Mario Duschënes, Réal.: Jacqueline Lé- veillée (dernière).

14h30 AUX FRONTIERES DU CONNU

Etude des grands problèmes scien- tifiques, La Science au service de l'art (dernière de 3}, «La Peintu- re», Le but du laboratoire re- cherches des musées de France: mettre science au service d'une meilleure conservation des oeuvres d'art. Le secteur des’ peintures est le plus ancien. In- vitée: Madeleine Hours, Labora- toire de recherches des musées

. de France, Paris. Narration: Marc Fillion, Interview: Paul-Emile Tremblay, Réal. Jear Martinet, Reprise demain à 23 h 29.

15h00 LE PRINCE ET LE MENDIANT : Dessins animés, Réal: Chris Cuddington, En Angleterre au XVIle siècle, un prince change de place avec un pauvre. Tchou, Tchou. Film d'animation.

Cafés à jouer

Il semble que les boîtes à chansons hier très populaires cèdent depuis peu la place aux cafés-théâtres que l'on retrouve dans les principaux centres qué- bécois. Pour savoir pourquoi ce changement s'est produit, à quel besoin il répond et qui fréquen- te ces nouveaux lieux de créa- tion, l'Observateur a posé la question à Jean Barbeau et François Beaulieu, auteurs dra- matiques; Mathieu Gaumont, metteur en scène: Marie-Hélène Gagnon, comédienne: Henri Bar- ras, du Café de la Place, et Sté- phane Leclerc-Marois, du café- théâtre le Pont tournant. Re- cherche: Colette Beauchamp.

La critique des critiques

On les accuse de tout, on les méprise, on les louange et on les craint; mais qui sont-ils vrai- merit, qui servent-ils et à quoi servent-ils, ces critiques? L'Ob- Servateur posera un certain nombre de questions pour ten- ter de savoir si la critique exer- ce une véritable influence sur la vente des billets d'un spec- tacle, par exemple. Peut-on dire que les critiques décident du succès ou de l'échec d'une piè- ce, d'un récital et même d'une carrière? Pour connaître les con- clusions surprenantes de cette petite enquête, écoutez les té- moignages de Guy Latraverse, producteur: Michel Girouard, critique; Ginette Reno, chanteu- se populaire; Martyal Da Sylva, critique, et André Brassard, metteur en scène. Recherche: Jean V. Dufresne.

Quelques enfants s'amusent à un jeu de construction, Surgit vn dragon qui bouscule leurs ‘locs et dérange tout. Que faire e. comment écarter l'intrus?

16h00 LA SEMAINE VERTE

Dossier. Chronique horticole. Commentaire sur l'actualité agricole, Animateur: Yvon Le- slanc. Réal. Jean-Guy Landry, Madeleine ÉLafrance, Gilles Per- ron et Denis Faulkner,

17h00 SECOND REGARD

«information religieuse», avec Y- ves Blouin. Réal. Lucien Létour- neau, «Messe québécoise» ins- pirée d'airs de folklore, oeuvre du musicien-compositeur Pierick Houdy, prof. au Conservatoire de musique du Québec, à Québec. «le Centre de spiritualité i- gnacienne», Ce centre s'occupe d'éducation de la foi et d'anima- tion spirituelle, «Ginette Bou- cher, de Sainte-Marie-de-Beaucer. Peintre de sumi-e: peinture à l'en- cre de Chine décrivant un état d'âme et destinée à provoquer un éveil spirituel chez le spectateur. Animatrice: Myra Cree. Rech, et int: Gilles-Claude Thériauit. Réal.: Jean Charbonneau.

18h00 HEBDO-DIMANCHE

Animateur: Jean Ducharme. In- terviewer: Denise Bombardier. Réal.: Michel Beaulieu.

19h00 À CAUSE DE MON ONCLE

Téléroman de Jacques Gagnon. Avec Maurice Beaupré, Andrée Boucher, Monique Joly, Rolland D'Amour, Gaston Lepage et Gil- bert Lepage, Après avoir mangé trois douzaines d'huîtres, l'oncle Procule est gravement malade. Réal.: Maude Martin.

. 19h30 LES BEAUX DIMANCHES

Faut voir ça. Sylvie Vartan, Spec- tacie enregistré au Palais des Congrès à Paris. Sylvie Vartan, entourée de trente musiciens, quatre choristes et quatorze dan- -seurs, chante: «Cet instant est à mois, «Petit rainbow», .Les Ba- teaux», «Le Temps du swing», “Arrête de rire», «Don't Leave Me this Way», «Tout l'bazars, «Geor- ges», «La Drôle de fin», «Jubila-- tion», «Operator», «Je vivrai pour deux» et «Dancing Starr, Réal.: Bernard. Lion, Prod.: Paris Show Vision.

20h30 LES BEAUX DIMANCHES

L'Observateur. Magäxine cultu- rel, «Mon pays bleu». L'importan- ce du bleu au Québec, avec MM. Jacques Bouchard, BCP: Marcel Saint-Germain, Bel! Canada. et

Une femme en or L'Observateur présentera cet- te Semaine un petit film original de Claude Fournier qui raconte l'histoire du directeur d'une a- gence de publicité à qui tout réussit et qui est sur le point de perdre sa femme. Cette der- nière le met au défi de [a ven- dre en utilisant les méthodes habituelles qui-font son succès

Pierre Olivier anime «L'Observateur»

Jacques Bergeron, psycnoiogue, Centre québécois de la couleur. M, Jean Bélanger, prof. scien- ces de l'Education de l'Université Laval, et des élèves nous appren- nent ce que .des écoliers franco- phones savent des autres franco- phones du pays, Témoignages d'étudiants, de jeunes profession- nels, de professeurs et de com- positeurs sur les conservatoires de musique du Québec. France Nadeau rencontre Gabriel] Baril, cinéaste amateur, «Les Cafés- théâtres», Inv.: Jean Barbeau et François’ Beaulieu, auteurs: Ma- thieu Gaumont, metteur en scène: Marie-Hélène Gagnon, comédien- ne; Henri Rarras, du Café de la: Place, et Stéphane Lecierc-Marois, du café-théâtre le Pont tournant. Guy Latraverse, producteur: Michel Girouard, critique: Ginet- te Reno, chanteuse; Martyal Da Sylva, critique, et André Bras- sard, metteur en scène nous par- lent des critiques, «Une fem- me en or», film de Claude Four- nier, Rech: Jean V, Dufresne, Claude Fleury, Lise Richer-Lortie, France Nadeau et Colette Beau- champ. Rédacteur en chef: René Homier-Roy, Aninateur: Pierre O- livier, Réal.: Jean Bissonnette et Royal Marcoux.

21h30 TEL QUEL

<L'Etrangers, : Documentaire sur l'immigration, Quel est l'impact social, économique, politique de la venue d'un grand nombre de citoyens d'autres pays? Que fai- Sons-nous pour que «l'étranger» se sente moins «à l'étranger?» L'interprétation du rôle de J'im- migration par des représentants des gouvernements d'Ottawa et de Québec. Interviews, texte et narration: Miche] Pelland, Re- cherches: Michèle Marchand: Vi- viane Jungfer et Laurier Bonhom- me. Réal.: François Brunet.

23h00 LE TÉLÉJOURNAL 23h15 DERNIERE EDITION

23h10 CINÉ.CLUB

Pousse-Pousse, Comédie réalisée et interprétée par Daniel Kawna, avec Marthe Ndome Ewane, Mar- cel Nvondo et Edward Tchapt- chet. Conducteur d'un tripor- teur, Pousse-Pousse est amoureux de Rose, la deuxième fille de pa-

. pa Bessédé, Au Cameroun, la coutume veut que le prétendant verse une dot au futur beau-père. Papa Bessédé abuse de cette cou- tume et ses exigences sont exor- bitantes (Cameroun 74].

lorsqu'il lance un nouveau pro- duit sur le marché. Et c'est l'his- - toire de ce défi que nous racon- te le film. « Animateur: Pierre Olivier. Ré-

. dacteur en chef: René Homier-

Roy. Réalisation: Jean Bisson- nette, assisté de Denise Roger, et Royal Marcoux, assisté de Diane Pudmans._

H.F.

lundi

8 janvier

8h55 OUVERTURE ET HORAIRE

8h00 EN MOUVEMENT La condition physique, c'est quoi? Anim.: Monique Tremblay. Part.: Lise.

9h15 LES ORALIENS Avec Lisette Anfousse, Serge L'it- talien et Hubert Gagnon. Produc- tion: Radio-Québec. «£n classe».

9h30 PASSE-PARTOUT

10h06 UNE FENÊTRE DANS MA TÊTE

10h15 VIRGINIE Avec André Cailloux, Louise Ga- mache et Danielle Schneider. Réal. Faymond Pesant, «De (a grande visite».

10h30 MAGAZINE-EXPRESS “Décoration d’intérieur., avec Madeleine Arbour. Les salles d'eau: Île principe modulaire. Choix de décor: miroirs, carre- ages, dénivellations, store ver- tical, accessoires, «La Chaîne haute fidélité», avec Pierre Cha- rest, électronicien. L'entretien des disques: les ranger, peut- on les laver? Anim.: Lise Massi- cotte..Réal.: Marcel Lamy.

11h00 LES TROUVAILLES DE CLÉMENCE

11h30 HAROLD LLOYD + . Harold a maille à partir avec Al- fred à qui il a soufflé [a petite amie, Haroid remplace un prin- ce russe, son sosie.

12h00 VERS L'AVENTURE Histoire d'un garçon, Mebratu. «Dum Dum».

12h30 LES COQUELUCHES Du Complexe Desjardins. Anima- teurs: Guy Boucher et Gaston L'Heureux, Dir, mus.: Michel Brouïllette, Inv.: Chantal Catela, Gaston Couturier, Georges Dor et Jean Rañfa. Réal: André Morin. Coord.: Afex Page. _

13h30 LE TÉLÉJOURNAL

13h35 FEMME D'AUJOURD'HUI «Les Activités du CLSC de Saint- Henri, Petite-Bourgogne»s, «L'Art de s'habiller», avec Mariel- le Fleury, Louise Lambert-La-

. gacé: l'alimentation chez les ado-

Jescents. Rech: Nicole Gilbert. Champagne, Int.: Françoise Fau-

. cher. Réal.: Jsannette Tardif.

14h30 D'AMOUR ET D'EAU FRAÎCHE :

. . De Trois-Rivières, La Religion

m2 4e #58 *Le-Frérico-Albertain, le 5 janvier 1979 / Page 13

Caen +

Culture et information +

Femme d'aujourd'hui semaine du 8, 13 h 35

Une semaine riche d'expériences exaltantes

Trois sujets sont au program- me de l'émission du lundi 3 jan- vier à 13 h 35. il sera’ d'abord question des activités du CLSC de Saint-Henri, Petite-Bourgogne qui, contrairement aux autres CLSC qui fonctionnent par modu- les, a choisi une approche glo- bale, appliquée à trois diffé- -rents secteurs: personnes â- gées, famille et jeunesse, clini- que médicale et consultations psycho-sociales. On verra quels sont les objectifs visés par cha- cun de ces secteurs et les àcti- vités qui ont été créées pour les mettre en application. A ti- tre d'exemple, des rencontres ont été mises sur pied sur le thème «Se connaître en tant que femmes». À l'issue de ces rencontres, un groupe de fem- mes y ayant participé feront le bilan de cette expérience. Re- cherche: Nicole Gilbert-Champa- gne.

En deuxième partie, on parle- ra de l'art de s'habiller, avec Marielle Fleury, qui se concen- trera sur les accessoires. Et pour terminer l'émission, Louise Lambert-Lagacé nous parlera de l'alimentation chez les adoles- cents. Recherches: Nicole Gil- bert-Champagne. Interview: Françoise Faucher, Réalisation: Jeannette Tardif, assistée de Marie-Paule Gagné.

Le sexisme à l'école En première partie de l'émis- sion du mardi 9, nous assiste-

»

rons à une table ronde dirigée par Aline Desjardins. Dans le document que le Conseil du sta- tut de la femme a présenté au gouvernement et intitulé «Egali- et indépendance», on dénon- ce Un certain nombre de situa- tions, dont voici quelques exem- ples: 73% des personnages cen- traux des manuéls scolaires sont des hommes et des gar- çons: le système scolaire qué- bécois n'offre présentement au- cun programme structuré d'édu- cation sexuelle. Selon une en- quête. menée par l'Université Laval, seulement 28% des fil- les du secondaires V trouvent très important pour une femme d'acquérir les qualifications pour travailler et assurer sa sé- curité. U.

Mme Christine Piette-Samson, membre du Conseil du statut. de la femme, sera l'une des invi- tées à cette table ronde qui réunira également des représen-

. tantes des principales associa-

tions féminines qui se sont pen- chées sur la question. Quatre

thèmes seront abordés lors de

cette rencontre: le sexisme dans les manuels scolaires, l’é- ducation sexuelle dans les éco- les, le sexisme dans l'orienta- tion professionnelle des étu- diants et la formation des ensei- gnants. Recherche: Jeanne Be- noist.

L'émission se poursuivra en compagnie de Trixi, une artisane originale qui, après avoir étudié à l'école des Beaux-Arts, décide un jour de laisser tomber la sculpture pour revenir à ses pre- mières amours, la fabrication de vêtements. Î importe de men- tionner que Trixi se préoccupe peu de la mode lorsqu'elle crée ses vêtements. Davantage créatrice, elle se sert avant tout de son imagination. Après avoir

commencé par faire des banniè- res en.71, elle fait ensuite des jupes, des corsages, des bolé- ros et des couvre-lits. Nous la rencontrerons en compagnie de sa petite fille Pénélope qui fut aussi pour elle une source d'ins- -piration. A l'ère de la fabrication .en série et des modèles que l'on ‘retrouve à des milliers d'exemplaires, aux saisons tout le monde porte les mêmes couleurs, il est intéressant de constater qu'il est encore pos- sible de se vêtir selon ses pro- pres goûts, sans suivre les déci- sions des grands couturiers ou des grandes industries.

Au Salon des métiers d'art du Québec, le public a pu se fami- liariser avec ce que, somme toute, on peut appeler ses oeuvres. Montage: Elise Anctil. Réalisation: Monique .Renaud assistée de Francine Lavallée.

Démolition ou rénovation

À l'émission du mercredi 10, nous verrons un film sur la rue Saint-André. On y fera le por- trait de cette rue et de ses ha- bitants. Louise Arcand s'entre- tiendra avec des personnes qui y sont nées et qui y habitent depuis 50 ou 60 ans. Plusieurs déplorent la démolition des mai- sons encore habitables et sem- blent très heureux de voir que des jeunes viennent s'y instal- ler et que des propriétaires aient décidé de rénover leur maison. Le film nous donnera des exemples concrets des pro- blèmes qui se posent aux loca- taires et aux propriétaires. Re- cherches: Johanne Ménard. Réa- lisation: Pierre Duceppe assisté de Gisèle David.

Au secours du consommateur Aline Desjardins animera une

table ronde, le jeudi 11. Plu-

sieurs spécialistes discuteront

du livre du psychologue Jac- ques Castonguay, intitulé /a Psy- chologie au service du consom- mateur. || semble que ce soit la première fois qu'un psychologue mette sa science au profit des citoyens plutôt qu'à celui des

entreprises commerciales. : As-'

saillis par des publicités tapa- geuses et souvent mensongè- res, les consommateurs ne prennent pas toujours conscien- ce qu'ils sont manipulés. En dé- finissant tous les mécanismes utilisés et toutes les théories du conditionnement qui sont employées par les profession- nels du marketing, Jacques Cas- tonguay permet aux gens de se rendre compte de la façon donc ces professionnels jouent sur les cordes sensibles de chacun. En comprenant ces mécanismes, il est plus facile d'analyser nos vrais besoins gt de faire un choix qui reflète un peu plus notre liberté individuelle et de nous protéger contre l'usage a- busif des techniques publicitai- res. En plus de Jacques Caston- guay, Nicole Forget sera égale- ment l’une des invitées à cette table ronde. Présidente de l'As- sociation des consommateurs du Canada, elle est aussi la seule femme à faire partie du Conseil d'administration de l'Hy- dro-Québec et de la Société d'é- nergie de la Baie James. Nous retrouverons aussi, à cette table ronde, un publicitaire et un pro- fesseur de marketing. En deu- xième partie de l'émission, il sera question de l'impact social des diverses solutions au pro- blème de l'énergie.

L'éducation créatrice

L'émission du vendredi 12 nous parviendra de Québec nous rencontrerons, en compa-

gnie de Micheline Archambault, deux jeunes comédiennes du Théâtre des Confettis qui feront le point sur leur ‘création, <Le Chien Arachide« visant à dénon- cer les stéréotypes qui préva- lent toujours dans l'éducation des enfants. Nous rencontre- rons ensuite Lucie Léveillé- Ryan, psychopédagogue, qui nous parlera de l'éducation créa-. trice, thème d'un atelier ‘qu'elle animera lors du congrès du Con- seil du Québec de l'Enfance ex- ceptionnelle. Pour terminer cet- te émission, nous verrons un re- portage sur des cours de me- nuiserie qui ont été: mis sur pied à Sillery à la suite de pres- sions faites par des femmes. Michèle Pérusse s'entretiendra avec quelques apprenties qui lui feront part de leurs motivations. Réalisation: Jacques de Varen-

nes. H.F,

Aline Desjardins

ee]

Louise Arcand

et la vie religieuser, Invités: Chanoine Wilfrid Bergeron, du Grand Séminaire de Nicolet; Frè- re Eugène Campana, Frère de Sa- cré-Coeur: Soeurs Lucille Cham- berland, Soeur Grise de Mont- - réal et Béatrice Naud, Fille de Jésus, et Père Roméo Fernand Porter, franciscain. Rech.: Fran- çoise Giroux-Cloutier. Anim.: Georges Dor. Réal.: J.-C, Houde.

15h30 AU JARDIN DE PIERROT «Petit ami mon pays».

15h45 LES CHIBOUKIS «Les Chiboukis se ressemblent» (tre de 2). 16h00 BOBINO . Avec Guy Sanche, Voix de Chris- tine Lamer. Textes: Michei Cail- loux, Réal.. Thérèse Dubhé. 16h30 LE GUIENBERG Texte: Pierre Duceppe. Réal.: Hu- bert Blais. «La Roche qui bou-

ge», 17h00 L'HEURE DE POINTE

Chronique du lundi: les arts vi- suels, avec Jean-Louis Robillard et les disques, avec Benoît L’Her- bier, Dir, musicale. Cyrille Beau- lieu, Réal.: André Desbiens. Sé- quences filmées: Louis Arpin. Coord.: Jacques Demers.

18h00 CE SOIR EN ALBERTA

18h30 CE SOIR

19h00 COSMOS 1999 Début. En vedette: Martin Landau, Bar- bara Bain et Catherine Schell. «Métamorphose». Le commandant Koenig et ie Dr Russel voient au secours d'une équipe d'Alpha pri- sonnière sur fa pfanète Psycho. Le commarñiüant doit faire face à une décision capitale pour la sur- vie d'Alpha face aux exigences de Mentor qui désire approvi- sionner son super-cerveau robot.

20h00 TERRE HUMAINE Téléroman de Mia Riddez-Moris- set, Avec Jean Duceppe, Sylvie Léonard, Guy Provost, Julien Bes- sette, Jean-Jacques Desjardins, Dorothy Berryman, Serge Tuwr- geon, Reine France, Marjolaine Hébert et Marcel Gauthier. An- toine à fait comprendre à son fils Martin qu'il ferait mieux de s'installer aïlleurs, Léandre a surpris son fils Réal en train de boire. Réal.: Yvon Trudel.

20h30 LES JORDACHES

22h30 LE TÉLÉJOURNAL 23h15 DERNIERE EDITION - 23h20 AUX FRONTIERES DU CONNU Reprise de l'émission du diman- che 7 Jenvier à 16 h 30.

23h50 UN PAYS, UN GOUT, UNE MANIÈRE «Au temps des carrioles», Docu- mentaire réalisé par François Brault et Michel Lessard, Nos ancêtres ont toujours été des a- mateurs de chevaux et de véhicu- les, Le Québec d'aujourd'hui ne fait que prolonger une tradition bien enracinée,

24h20 LES BRIGADES DU TIGRE «L'Ere de la calomnie», 1914 La guerre entre la presse et la politique entraîne une escalade.

- Le député Germain Bergeval en-

treprend une campagne d'épura- tion dirigée contre les pollticail- leürs et les journalistes véreux.

mardi

9 janvier:

8h55 OUVERTURE ET HORAIRE

Sh00 EN MOUVEMENT «Abdomens, Précautions médica- les et tenue vestimentaire pour un programme de conditionne- ment physique, Anim.: Pierre Tes- sier. Part.: Suzanne.

9h15 LES 100 TOURS DE CENTOUR «Quel désordre»,

Sh30 PASSE-PARTOUT

10h00 ANIMAGERIE à «Le Loupe (tre de 5).

10ht5 MINUTE MOUMOUTE! «Boulier»: «Le Cinq berceur». «Le Temps des inventions», «Tarzan», «Dessin-minute»: «Le Poisson». «Grenouille Ernest»: «Le Bain de soleif». «Le plus beau métier du monde».

10h30 MAGAZINE-EXPRESS : «Le Meuble», avec Jean-Pierre Bellemare. Anciens meubles du Canada français: la ferme St- Gabriel, le couvent des Ursulines et le Musée de Québec. sRéfé- rence-express»: la Fédération de l'Age d'or du Québec. «Hygiène capillaire», avec Pierre Ladou-

ceur, Les traitements: naturels.

11h00 LES TROUVAILLES DE CLÉMENCE Soin de beauté: huile pour le bain, avec Louise Latraverse, Se- courisme: ski alpin et-ski de ran- donnée, avec Hugues Ferland. Restauration: entretien et netto-

yage du laiton, avec Ken Meany.

11h30 LE MONDE EN LIBERTÉ aL'Antarctiquer, Les pingouins, bien qu'on en dénombre dix-huit espèces, deux seulement vivent sur le continent: même: le pin- gouin Empereur et l’Adélie.

12h00 LASSIE , «la Séparation» (3e de 7). Tou- jours en quête de son maitre, Lassie s’aventure aux abords d'u- ne ferme d'élevage, Le propriétai- re fait feu et blesse Lassie.

12h30 LES COQUELUCHES Réal.: Jean Boisvert,

13h30 LE TÉLEJOURNAL

13h35 FEMME D'AUJOURD'HUI Table ronde, dirigée par Aline Desjardins, avec Mme Christine Piette-Samson et des représentan- tes d'associations féminines, sur e document «Egalité et indépen- dances, Rencontre avec Trixi, créatrice de ‘vêtements, Rech: Jeanne Benoist. Réal. Monique Renaud. Û

14h30 CINÉMA Les Bidasses en folie, Comédie écrite et réalisée par Claude Zi- di, avec les Chariots. Cinq ca- pains musiciens participent à un concours. ls remportent la demi- finale mais sont appelés sous les

. armes (Fr. 71).

16h00 BOBINO

16h30 LES ÉGRÉGORES Réal.: Hubert Biais.

47h00 L'HEURE DE POINTE - - Chronique du mardi: le cinéma, avec Nathalie Petrowski, Réal.t Jean Rémillard, Inv.: le groupe Sonde et le chanteur belge Jofroi.

‘18h00 CE SOIR EN ALBERTA .

18h30 CE SOIR Î

19h00 LE MONDE DE DISNEY Lu «Gus» {tre de 2), Une mule fait partie d'une équipe de soccer.

20h00 GRAND-PAPA

Téléroman de dJanette Bertrand. Avec Jean Lajeunesse, Patricia Notin, Pierre Dufresne, Amulette Garneau, Juliette Huot, Yves Mas- sicotte, Pauline Martin, Donaid Pilon, Johanne Garneau, Diane Lavallée, Yves Fortin et Alexan- ‘dre Guité, Cherles-Henri fait la grève de fa faim parce que Soeur Angèle est repartie dans son cou- : vent. Armande doit contracter un emprunt. Réal.: Aimé Forget. 20h30 JAMAIS DEUX SANS TOI : Téléroman de Guy Fournier, Avec Jean Besré, Angèle Coutu, Valé- rie Gagné et Stéphane L'Ecuyer. ‘Le Diner aux chandelles». C'est l'anniversaire de mariage de Fran-

,

cine et Rémi. Un diner en tête-à- tête s'annonce, Réal.: R. Guay.

21h00 TÉLÉMAG

Animateur: Pierre Nadeau, Rech.: Claudette Bastien-Lenihan. Repor- ters. Gilles Gougeon, Patrice Ju- tien, René Mailhot, Daniel Pi- nard, Madeleine Rousseau et Ri- chard Vigneault, Réal: Nicole Aubry, Pierre Charlebois, Nor- mand Gagné, Pierre Leduc, Hu- guette Pilon, Marc Renaud, Jean Saint-Jacques, Hélène Saint-Mar- tin. Coord.: Micheline Di Marco.

22h00 A COMMUNIQUER

22h30 LE TELÉJOURNAL

23h00 DERNIERE EDITION

23h20 RENCONTRES Invité: te Dr Claude Olivenstein, médecin et psychiatre, Il consa- cre sa vie aux jeunes drogués. Il a publié «if n'y a pas de dro- gués heureux», Int. Marcel Bri- sebois. Féal.. Raymond Beau- grand-Champagne.

23h50 PROPOS ET CONFIDENCES Antonine Maillet se raconte (3e de 4). Aéal.: Jean Faucher.

24h20 CINEMA e Une si jolie petite plage Drame réalisé par Yves Allegret, avec Gérard Philipe, Madeleine Ro- binson et Jean Servais. Un hom- me arrive sur une petite pfage. Seul un hôtel isolé est ouvert, tenu par deux personnes. Îl est suivi par un inconnu qui dit [l'a- voir vu tuer sa maîtresse (Fr. 48).

mercredi

10 janvier

L

8h55 OUVERTURE ET HORAIRE

9h00 EN MOUVEMENT Comment se préparer à l'effort physique? Anim.: Monique Trem- blay. Part.: Lise.

9h15 L'ÉVANGILE EN PAPIER «Le Bon Samaritain»,

9h30 PASSE-PARTOUT

t0h060 TAM TAM

«Le Classement, (2e de 5).

10h15 YOU HOU

«Eau, terre, air, feu» (3e de 5).

10h30 MAGAZINE-EXPRESS

ePérinatalité», uvec Nicole Hé- bert-Marchand, Le -«travaile: si.

gnes précurseurs; les vrais et les fausses contractions: quand faut-il se rendre à l'hôpital; le caractère douloureux de ia con- traction, «A votre santé», avec Louise Lambert-Lagacé. Le foie est-il aussi nutritif qu'on le dit? 41h00 LES TROUVAILLES DE CLÉMENCE Cuisine: trois hors-d'oeuvre, a- vec, Claudette Taillefer, Dépan- nage, avec André D'Amour. 11h30 MON PAYS, MES AMOURS Début. «Un homme d'ici». John Pitt, fils d'un Anglais et d'une Canadienne française; créateur, constructeur. 12h00 TOUMAÏ «Le Sanglier pygmée». 12h30 LES COQUELUCHES Réal.: Normand Mathon. 13h30 LE TÉLÉJOURNAL 13h35 FEMME D'AUJOURD'HUI «Rénovation du logement rue Saint-André». Louise Arcand s'en- tretient avec des personnes qui y sont nées et qui y habitent de- puis 50 ou 60 ans. Rech.: Johanne Ménard. Réal.: Pierre Duceppe. 14h30 LE TEMPS DE VIVRE Un groupe de Deschambauit, M. Joseph Gignac présente M. Geor- ges Montambault et Mme Al- phonse Boisvert. Mmes Victor Paré, Léopoid Dussault et M. Eu- gène chantent. Au violon: MM. Albert Paris, Léopold Gosselin et Roméo Perron. Chronique infor- mation de Monique Lalande: be- soins spéciaux en aide sociale, avec M. Simon Brossard, Anima- teur: Pierre Paquette. Recherches: Lucie Lépine, Monique Lalande, Jean-Rock Roy et Daniel Simard. Dir. mus.: Herbert Ruff. Réaïi.: Gilles Derome et André Grouix. 16h00 BOBINO 16h30 LE GRENIER Sädhu lance une campagne pour la paix. ‘17h00 L'HEURE DE POINTE Chronique du mercredi: le théä- tre, avec Michelle Talbot. Réal.: Henriette Grenier. Invité, Alain Crevier. L

18h00 CE SOIR EN ALBERTA 18h30 CE SOIR 19h00 TES FILLES ET MES GARÇONS 19h30 LA PETITE PATRIE Téléroman de Ciaude Jasmin. «Concours d'amateurs», Murielle et Marie-Borthe- se préparent à chanter pour un concours d'ama- teurs. Avec Vincent Bilodeau, Jac- ‘ques Galineau, Gisèle Schmidt, ‘Christiane Pasquier, Eileen Cli- ford et Jean-Pierre Masson. Réal.: } Fiorent Forget. |

Te Tr ecmeemms MUI ME & 0 m

Gr opes \ ENES V6 D S1 NISTIENA-CINBET I 85

Fage 14 / Le Franco-Albertain, le 5'janvier 19797777 TT h L CT DT . H ne EEE LU

Scénario

Ariane

mercredis 10, 17, 24 et 31 janvier, 21 h 30

Le rêve valorisant la vie; la vie valorisant le rêve

Notre époque, décadente com- me il n'en fut pas, adore la ma- tière, l'argent, les gadgets. Et l'homme moyen, neutralisé en- tre les «réductionnistes», Îles marchands et les illusionnistes, pense vivre en civilisation. Mais il arrive à certains de s'ouvrir les yeux. Soit événement impré- vu, soit épreuve tragique, soit lassitude, ils s'arrêtent tout à

coup, réfléchissent. ou rêvent.

Et c'est ce qui se passe pour Guy, l'un des protagonistes d'A- riane, un Scénario de Nicolas Bornemisza et Diane Cousineau- Fancott, qui sera présenté en quatre épisodes les mercredis 10, 17, 24 et 31 janvier à 21h 30.

Donc ce Guy, en proie à la crise de l'homme de quarante ans. semble inconsolable de la

mort de sa mère. À sa femme :

Anne, nerveuse, exaspérée, qui le presse de se remettre à vi- vre, il rétorque ne plus savoir il en est. Absent de lui-mé- me, inattentif à ce réel il se cogne de toute part, Guy se questionne, se cherche, attend il ne sait plus quoi d'une sorte de rêve qui le fige et le ravit. A défaut de maîtresse véritable, il s'en crée une en imagination. issue de son subconscient, cet- te Ariane est plus réelle que sa femme-et incarne tout ce qu'An- ne n'a pas. Ariane, c'est l'épouse idéali- sée, la maîtresse passionnée et passionnante, la femme spiri- tuelle, charmante, épanouie, cul-

tivée et fine, hyperféminine et vaporeuse Elle habite un ap- partement de son rêve, un lieu clos conçu par un poète, tout en camaïeu . rose. «Là tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté».

Penser à Ariane, la rejoindre, vivre quelques instants même fugitifs en sa présence, c'est apprendre à vivre, sentir, pen- ser, aimer vraiment...

Plongé dans une tragique di- chotomie, Guy ne sait plus bien commence et se termine le réel.

Mais Anne, dans son décor «dur», quotidien, vulgaire, s'in- quiète et pressent la. présence de la «voleuse». Les scènes succèdent aux scènes mais rien n'y fait. Guy, dont le rythme de vie en famille comme au travail est désormais incohérent, re- pousse même la présence d'une véritable maîtresse. Celle-ci ja- mais, pense-t-il, n'atteindra à la beauté, à la «réalité» de la fem- me de son rêve.

Les reproches d'Anne ne lui causent aucun remords; car il «s'évade seulement». Et il ne vient à l'esprit ni du mari ni de l'épouse que tout est en eux et qu'ils pourraient tout harmoni- ser.

- Cependant, la crise de Guy une fois arrivée à maturité, se résorbe peu à peu dans le puis- sant exutoire de l'imagination: mais Anne, voulant surprendre son mari à l'appartement de l'autre, sera surprise à son tour. Le nid de rêve est vide, déserté semble-t-il, sans meubles. mais un homme est là, seul, tout au fond de la pièce. Il ressemble

étonnamment à son mari mais en mieux: romantique, plein d'allant, l'homme idéal, l'homme du rêve...

Ariane, une dramatique pleine de poésie et de vérités profon- dément humaines. L'analyse à la fois subtile et méticuleuse non seulement de la crise de l'hom- me de quarante ans, mais aussi des rapports du couple et des fantasmes. Le rêve valorisant la vie et la vie valorisant le rêve.

La réalisation Le réalisateur, Jacques Se- ‘gard, n'avait pas la tâche facile: mais il a résolu avec aisance et élégance le délicat problème de conférer le plus de vraisemblan- ce possible à la séquence du rêve qui se déroule à la fois dans l'esprit et dans la vie. En effet, les décors de Norbert, ‘Poulin sont d'une parfaite adé- quation et l'appartement d'Aria- ne, sorte de coquille de nacre rose, semble faire corps avec Andrée Lachapelie. La musique d'Antoine Padilla {dont le réali- sateur pense qu'il est un André Gagnon plus intellectuel) insuf- fle vie au moindre détail. Jacques Segard, comme un

chef d'orchestre d'envergure, a su fondre tous ces éléments en un tout homogène et dense. II dirige ses acteurs avec inspira- tion et il a su nous montrer une Andrée Lachapelle, dans. son double rôle d'Anne-Ariane, plei- ne d'intelligence, de sensibilité et de neturel. Quant à Jacques Godin, il fait à rruuveau ia preu- ve de ses dons multiples. Nous verrons qu'il incarne aussi bien les personnages complexes et sensibles que les gros durs bor- nés.

Distribution

Anne-Ariane Andrée Lachapelle GUY mn. Jacques Godin Guillaume …. Raymond Legault Thomas Pascal Rollin Isabelle Danielle Gagné l'ingénieur Aubert Pallascio l'aveugle Paul Hébert Eric Sébastien Rose Catherine Sophie Léger UIla Francesca de Oliviera

Linda Plamondon

France Ursula Lisette Guertin

Equipe technique

Musique Antoine Padilla Décor Norbert Poulin Costume ……. Francine Boizard Maquillage Louise Bach Coiffure Aline Guilbault Ensemblier Jean Henquet

Chef machiniste André Legris Prise de son . Jean-Marc Rioux Bruiteur Jean-Pierre Dery Eclairage André Nepveu Jean-Paul Rouillard

Montage magnétoscopique Yvon Howison

Assistant à la production

Claude Joly Script-assistante . Priscille Beaulieu Direction technique Richard Pichette Réalisation Jacques Segard Réalisateur coordonnateur Claude Désorcy

Sophie Léger, Sébastien Rose

Claude Grisé .

Les auteurs

Signalons que les deux au- teurs d'Ariane en sont, avec cet- te dramatique, à leur première oeuvre littéraire. Diane Cousi- neau-Fancott, docteur en littéra- ture de l'Université de Paris, est recherchiste et interviewer à Radio-Québec. Pour sa part, Ni- ‘colas Bornemisza, Québécois d'origine hongroise, a-été durant huit ans monteur de films à Ra- dio-Canada. Ensuite, après avoir

réalisé des films industriels

pour l'Hydro-Québec, il a été réalisateur à Radio-Québec. Ac- tuellement, il est producteur- exécutif à la télévision ontarien- ne.

René Houle

Andrée Lachapelle

Jacques Godin et Andrée Lachapelle

a

20h00 RACE DE MONDE Téléroman de Victor-Lévy Beau- lieu, Avec Monique Aubry, Mi- chel Dumont, Jean-Luc Montmi- ny, Monique ‘Lepage, Louise Saint-Pierre, Paul Hébert, Lionel

* Villeneuve, André Lacoste, Da-

nielle Schneider et Nathalie Nau- bert, Abel rend visite à sa mère. Isabelle Beauchemin et Huguette Picard sont devenues de bonnes amies, Jos veut revenir à la maison, Réal. Jean-Yves Laforce.

20h30 HORS SÉRIE Racines, Drame d'après Alex Ha- ley. Le problème des Noirs dans cette longue lutte vers une liber- difficile à conquérir. Chicken George est libre et possède une terre dans le Tennessee {dern.).

21h30 SCENARIO Ariane. Dramatique de Nicolas Bornemisza et Diane Cousineau-- Fancott. Guy semble inconsola- ble de la mort de sa mère. Sa femme Anne le presse de se re- mettre à vivre et lui se ques- tionne, 5e cherche, attend. A dé- faut de maitresse véritable, il s'en crée une en imagination. Avec Andrée Lachapelle, Jacques Godin, Raymond Legault, Pascal Rollin, Denielle Gagné, Aubert Pallascio, Paul Hébert, Sébastien Rose, Sophie Léger, Francesca de Oliviera, Claude Grisé, Linda Plamondon et Lisette Guertin. Réal.: Jacques Segard.

22h00 SCIENCE-RÉALITÉ “Les Virus», Inyités: MM. Ar- mand Boudreault, Serge’ Belloncik et Pierre Payment, prof, au dép. de virologie, institut Armand-Frap- pier, et Jean Joncas, m.d., Ph. D., dir. du dép. de microbiologie, hô- pital Ste-Justine. Rech. ‘et int.: Yanick Villedieu, Animateur. Do- nald Dodier. Réai.: Hélène Robert.

22h30 LE TELEJOURNAL 23h10 NOUVELLES DU SPORT 23h00 DERNIERE EDITION

23h20 REFLETS D'UN PAYS De Trois-Rivières, Visite d'une maison créée pour la femme dans le besoin, une initiative des Fil- les. de Jésus, Entrevue avec une physiothérapeute, Anim.: Louise Hemel. Réal.: Pauline Voisard.

24h00 CINEMA Les Clowns, Film réalisé par Fe- . derico Felini, avec Pierre Etaix et Annie Fratellini., Le monde " merveilleux du cirque, mythe de l'enfance, métaphore de la vie

{it. 70).

jeudi

11 janvier

8h55 OUVERTURE ET HORAIRE 9h00 EN MOUVEMENT «Cou». Les douleurs musculaires après l'exercice. Anim.: Pierre - Tessier. Part.: Suzanne. 9h15 LES ORALIENS 9h30 PASSE-PARTOUT 10h00 ANIMAGERIE «Le Loup» (2e de 5). 10h15 MINUTE MOUMOUTE! | «Trompe-l'Ogil»: «Gaston, le vieux soulier»r, 4AL'Elégance au téléphone», «Panoplie»: «La Ma- chine à montrer». «Le Poème». «Dessin-minute»: «Chat et pois- sons», «Un amour de peluche». «L'Air du temps». «Ockemi et Sporaton>: «Les Lunettes». 10h30 MAGAZINE-EXPRESS “Artisanat, avec Lise Prudhom- me-Pouliot. La courtepainte (2e de 2), Assemblage: tissu, «Réfé- rence-express»: la Croix-rouge. «Des sites à découvrir», avec Pierre Vincent: la Côte Nord. 11h00 LES TROUVAILLES DE CLÉMENCE 11h30 LE SON DES FRANÇAIS . D'AMÉRIQUE «Ma chère terre, Les Cajuns et la musique. Rech. André Gla- du. Réal.: André Gladu et Michel Brault. 12h00 DEÉMÉTAN, LA PETITE GRENOUILLE «L'Arrivée des tritons». 12h30 LES COQUELUCHES Invités: Véronique Béliveau, François Léveillé, Michelle Ri- chard et Lucile Dumont, Réal.: Martin Gaudreau, 13h30 LE TÉLÉJOURNAL 13h35 -FEMME D'AUJOURD'HUI “La Psychologie au service du consommateur», livre de Jacques Castonguay. Table ronde avec Jacques Castonguay: Nicole For- get, prés. de l'Association des consommateurs du Canada; un pu- blicitaire et un professeur en marketing, André Delisie, in- génieur et journaliste, nous par- le de «Energie et organisation 50- ciale, Rech: Yolande Aubert. Réal. Fernand Choquette,

14h30 CINEMA . Les Rebelles de l'Arizona (Ari- zona Busbwakers), Western réali- par Lesley Selander, avec Ho- ward Keel, John Ireland et Yvon- ne de Carlo. Libéré par les Nor- distes qui le tenaient prisonnier,

un homme est engagé comme shérif (USA 67).

16h09 BOBINO 16h30 POP CITROUILLE Chansons, mini-comédies et ma- rionnettes. Avec André Cartier, Denyse Chartier, Michèle Des- lauriers, Reynald Bouchard, Ghis- lain Tremblay, Suzanne Garceau et Angela Laurier, Musiciens: De- nis Larochelle, Mario Bruneau, Céline Prévost et Gaston Brisson. Textes. Jacqueline Barrette, Isa- belle Doré, Daniel Jasmin, Gil- bert Larocque, Jean-Pierre Plante, Raymond Plante, Francine Ruel, Jacques Senécal et Jean-Yves Soucy. Réal: Renault Gariépy. 17h00 L'HEURE DE POINTE - Chroniques du jeudi: le touris- . me, avec Normand Cazelais et les ‘petits spectacles, avec Francine Grimaldi, Réal: Jacques Payette. Invitée: Priscilla Lapointe. 18h00 CE SOIR EN ALBERTA 18h30 CE SOIR ° 19h00 VISAGES 19h30 DU TAC AU TAC Téléroman d'André Dubois. Avec Michel Forget, Roger Lebel. A- nouk Simard, Jean-Pierre Char- trand, Normand Chouinard, Da. niel Roussel, Lionel Villeneuve et Christiane Pasquier, «Le Meilleur Ami de l'homme», Louis ordonne à Huguette de se débarrasser du caniche. Réal.: Hené Verne. 20h00 LE TRAVAIL À LA CHAÎNE Animateur: Serge Laprade, avec Denis Bergeron, Réal. Lisette LeRoyer, - 20h30 LES GRANDS FILMS L'Uniforme de la honte (Baby Blue Marine). Comédie réalisée par John Hancock, avec Jean Mi- chael Vincent, Glynnis O'Connor et Michael Conrad. Au lendemain de Pearl Harbor, un aspirant ma- rin rencontre un déserteur. Ce- lui-ci ie fait boire (USA 76}. : 22h30 LE TÉLEJOURNAL 23h10 NOUVELLES DU SPORT

23h00 DERNIERE EDITION 23h30 TELE-SELECTION ‘’Au nom de la femme”

24h30 CINEMA

La Toile d'araignée (The Cob- web). Drame réalisé par Vincente Minelli, avec Richard Widmark, Eucille Ball, Charles Boyer et John Kerr. Dans une clinique pour malades mentaux, une forte tension existe entre le personnel et les patients, Un incident ba- nat déclenche le drame (USA 55).

vendredi

12 janvier

8h55 OUVERTURE ET HORAIRE

9h00 EN MOUVEMENT Ce qui compte: la dépense d’é- nergie. Anim: Monique Trem-

. blay. Part.: Lise.

9h15 LES 100 TOURS DE CENTOUR »Mémo va chercher de l'aide»,

9h30 PASSE-PARTOUT

10h00 LA BOÎTE À LETTRES Le son et l'image Avec Robert Gravel, Dorothée Berryman et Francine Ruel, Auteur: Raymond Plante, Musique: Céline Prévost. Réal. Pierre-Jean Cuillerrier. Lettres IN. «Tiens, un dessin de Martien dans ma main».

10h15 VIRGINIE «Un rêve délicieux».

10h30 MAGAZINE-EXPRESS «la Femme dans ses différents âges», avec le Dr André Aubry. De ‘12 à 20-21 ans: anticoncep- tion. La pitule: aspects social et médical. Comment réagir face aux relations des adolescents. «L'Ataxie de Friedreich», avec le Dr Guy Geoffroy (ire de 2). Origine du nom. Manifestations cliniques, Examen d'un enfant at- teint de cette maladie.

11h00 ENVIRONNEMENT Début. Emission du Conseil des minis- tres de l'Education, «Le Monde naturel». L'homme a habité un monde naturel lorsqu'il était chasseur et cueilleur et n'essa- yait pas d'organiser la nature.

11h30 AU PAYS DE L'ARC-EN-CIEL «Bien mal acquis», Billy et l'In- dien gardent le magasin générai et découvrent que des boîtes de saumon sont avariées.

12h00 PRINCE NOIR «Un jeune médecin arrogant».

12h30 LES COQUELUCHES

. Invités: Louise Lemire, Jacques

Lepage et Laurent Lavigne. Réal.: Louise Charlebois.

13h30 LE TÉLEIQURNAL

13h35 FEMME D'AUJOURD'HUI Micheline Archambault rencontre deux comédiennes du Théâtre des Confettis qui met à l'affiche «Le Chien Arachide», Lucie Léveil- lé-Ryan nous parle de l'éducation créatrice, Reportage sur des cours de menuiserie pour fem- mes. Michèle Pérusse s'entretient avec des apprenties, Réal. Jac-

ques de Varennes, Québec. 14h30 LES ATELIERS

D'Ottawa. Invités: MM. Edgar Mailais travaille le cuir repoussé et le bois brülé: Lionel Lefebvre fabrique des mitaines en fourrure et en cuir, et Charles-André Gué- nette nous parle des débuts de Kapuskasing. Rech. et coanim.: Monique Dumont, Anim.: Henri St-Georges. Réal.: Patricia Ely.

15h30 FANFRELUCRE «En Grèce mythologique». 16h00 BOBINO 16h30 ES-TU D'ACCORD? «Guatemala».

17h00 L'HEURE DE POINTE Chroniques du ‘vendredi: les grands enectacles, avec Reine Malo et les loisirs, sports et plein air, avec Jean-Claude For- tier. Réal. Michel Gélinas.

18h00 CE SOIR EN ALBERTA

18h30 CE SOIR

18h50 NOUVELLES DU SPORT

19h00 IL ÉTAIT UNE FOIS... L'HOMME Dessins animés réalisés par Al- bert Barillé, L'histoire de l'hom- me, des origines de la vie jus- qu'à nos jours. «Les Vailées fer- tiles».

19h30 LA VIE DE MARIANNE «Madame de Valvilles, Marianne. craint pour son amour et son ave- nir. Les révélations de Mile Var- ton et le comportement de son amant ne la rassurent pas (der- nière).

20h30 VEDETTES EN DIRECT Réal.: Marcel Brisson.

21h00 SOUS LE SIGNE DU LION e Téléroman de Françoise Loranger. Avec Ovila Légaré, Réal.: Jean. Pierre Senécal.

21h30 CONSOMMATEURS PLUS «La Femme dans l'économie du Québec», «La Vente ,des ‘vins dans les épiceries». «La Location ou l'achat d'un téléviseur», Test: les cires à plancher. Reporters: Normande Juneau, Pierre Dupont, Jean Giroux et Marceile Trépa- nier. Anim: Simon Durivage.' Réal.: Jean-Claude Leblanc.

22h30 LE TÉLÉJOURNAL

23h00 DERNIERE EDITION

23h20 CINEMA

Luv. Comédie réalisée par Clive Donner, avec Jack Lemmon, Peter Falk et Elaine May. Un homme s'efforce de redonner goût à la vie à un ami désespéré, I l'em- mène chez lui et fait même en sorte de favoriser une idylle en- tre lui et sa femme, espérant ainsi obtenir un divorce (67).

+ ' #

7 Le Franco-Albertain, le 5 janvier 1979

Hélène Canesson (327-9360 )

| Page 15

ce

programme d'immersion

LETHBRIDGE La Com- mission Scolaire Publique de Lethbridge a accepté, en principe, l'instauration d'un programme d'immersion dès septembre 1979.

Les commissaires ont unanimement manifesté leur support au projet, qui sera discuté de nouveau en mars prochain, lors de la présentation du budget.

Le directeur des pro- grammes, M. George Bevan, a présenté le rapport qu'il a rédigé sur la possibilité d'établir un tel programme. I a insisté pour dire qu'il ne se prononce nullement sur sa “désirabilité”" c'est le rôle des commissaires.

Ce rapport se base sur une étude extensive des programmes d'immersion existants dans la province et à travers le Canada, et

sur les résultats à un ques- tionnaire qui a été envoyé à quelques 1,000 familles ayant des enfants en’ âge d'entrer en maternelle et / ou ère année, en septem- bre prochain.

Ces résultats montrent que 28 parents seraient in- téressés à inscrire leur en-

_fant en 1ère année, et 35 en

maternelle. M. Bevan con- clut qu'il y a donc suffisam- ment de support de la part des parents.

Quant à la structure ad- ministrative, le rapport re- commande qu'une Îêre an- née, et une maternelle soient instaurées pour l'an- née 1979-80, et qu'un ni- veau soit ajouté chaque an- née, jusqu'en 9ème année. Toutes les classes devraient être situées dans une seule école. L'endroit qui semble convenir le mieux, pour le

moment, est l’école Agnès Davidson, située au sud de la ville.

Cette école peut abriter en ce moment 7 classes d'immersion. S'il devenait nécessaire d'ouvrir, deux classes de chaque niveau, il faudrait alors déménager: Fleetwood-Bawden sera dis- ponible après la-construc- tion d’une école à Lethbrid- ge-Ouest.

M. Bevan recommande que la Commission Scolaire organise elle-même la ma- ternelle. C'est un précé- dent, car toutes les mater- neiles de la ville sont orga- nisées par des groupes de parents. Mais il pense que c'est nécessaire si on veut assurer une certaine conti- nuité, et une clientèle, pour la 1ère année.

Cependant, avant d'être inscrits, les enfants de- vraient être testés, et seuls ceux présentant une matu- rité linguistique suffisante et un niveau intellectuel moyen devraient être ad- mis. ,

Sur ce point, le Dr. Pe- therbridge, directeur des programmes à l’Université de Lethbridge, apporte les résultats d'une étude récen- te, selon laquelle l'immer- sion ne retarderait pas l'évolution des enfants pré- sentant des difficultés d'ap- prentissage: il n'y aurait donc aucune raison de Îles refuser.

L'enseignement du fran- çais se fera selon le maxi- mum autorisé par le Minis- têre de l'Education, qui sti- pule qu'on doit donner une demie-heure d'angiais par jour en maternelle, une

Les commissaires disent “oui” au

heure de la Îère à la 6ème année, et au delà de 150 heures minimum par semes- tre.

M. .Bevan recommande aussi que la Commission Scolaire organise le trans- port des élèves, et les auto- rise à diner à l'école. Ceci pourrait éventuellement causer des problèmes, mais cela est pour assurer le succès du programme.

Pour répondre à une préoccupation d’un des commissaires, qui se de-

mande si l'immersion n'est pas une mode en éducation, M. Jacques Moquin, du dé- partement provincial d'édu- cation, informe qu'aucun programme d'immersion n'a encore été arrêté en cours de route en Alberta, et que, politiquement, ce type de programme est plus viable qu'auparavant. ,

A l’école Ste-Marie, cinq classes d'immersion

LETHBRIDGE Notre tour d'horizon des endroits le français est enseigné nous amène à l'école Ste- Marie, Quelques 115 en- fants venant £cür la plupart de familles anglophones, fréquentent les classes d'im- mersion de la ère à la ième année. En tout cinq classes, car il y a deux 1ère année.

D'emblée, les classes pré- sentent une atmosphère française. Toutes les îins- criptions aux murs sont en français et les enfants ac- cueillent le visiteur avec un “gros bonjour’. Tout l’en- seignement, excepté l'an- glais et la religion se fait en français. Le professeur de 4ième année, de son côté, n'enseigne pas ces matières Üil échange des cours avec un autre professeur de l'école), parce qu'il désire que ses élèves ne lui adres- sent la paroie qu'en fran- çais. |

Au fur et à mesure de leur apprentissage, les en- fants répondent de plus en plus en français. En 1ère année, on entend encore assez d'anglais en réponse aux questions du profes-

seur, qui sont soit dit en passant parfaitement com- prises, mais en 4ième an- née, questions comme ré- ponses, tout se dit en fran- çais.

Et cela déborde le cadre de la classe elle-même, puis- qu'aux dires du vice- principal de l’école, an en- tend les enfants bavarder et jouer en français à la récréation et pendant le lunch.

Les classes de îlère et 2ième année sont un peu plus bruyantes que les autres. Les enfants doivent apprendre la langue, cela implique donc plus d'ensei- gnement oral, et aussiplus d'activités l’on doit s'ex- primer.

Le programme d'immer- sion existe depuis f’autom- ne: 1974, et tous, tant pa- rents, que professeurs et administrateurs, s'accor- dent à dire que c'est un succès. En 4ième année, les enfants parlent couram- ment Île français, savent l'écrire, et suivent sans dif- ficulté les mêmes program- mes qui sont offerts aux classes unilingues.

Il s'agira pour les com- missaires de décider, à ce moment-là, s'ils veulent payer pour un projet aux- quel ils reconnaissent des avantages éducatifs auquels its sont unanimement favo- rables.

Les coûts seront discutés en mars prochain avec le budget de la Commission Scolaire. Îls sont estimés à $37,500 pour la première année d'opération, avec une augmentation de $ 20,600 chaque année jusqu'à l’ins- tauration de toutes les clas- ses, et ce, prenant en con sidération toutes les sub- ventions qu'il est possible d'obtenir.

Activités

ACTIVITES

Tous les vendredis, à partir de 19 h 30 rencontre heb- domadaire au Centre Cultu- rel.

LE 14 JANVIER

Au centre Culturel Ciné- Dimanche présente: “La merveilleuse fable de Cen- drillon””, à 14 heures.

LE 17 JANVIER

A | l'Université je Ciné-Club présente: ‘L'homme qui aimait les femmes” à 19h 30.

LE 18 JANVIER REUNION Au centre Culture àä 19h

30 pour le Comité d’ Edu- cation

- oo |, formaintenen) [a

Soyez en bonne et due forme! C’est la loi.

a

PaRTITIPACTION

Le mouvement cahadien du bien-être phy&ique

memes ce cp os -

NT pad TE PhiAeb A Benin o4/5 Ganvidr 4979 | | =

Monique Jeannotte

{Bur: 262-7074) (Rés: 288-7638)

- CALG

Visite du Père Noël

äla

paroisse Ste-Famille

STE-FAMILLE C'est décidement en grand que la paroisse Ste-Famille de Cal- gary a fêté la venue du Père Noël. Le 17 décembre, au- cun effort n'avait été négli- -gé pour que cette fête des

Groupe de danses folkloriques.

enfants reste pour les pe-

tits, une fête mémorable.

Près de. 150 personnes s'étaient rassemblées au sous-sol de l'Eglise, à l'issue de la messe, pour déguster

Re Pt

_sandwiches, gâteaux, bis-

cuits, bonbons, dans une ambiance heureuse qui 5e reconnaissait au niveau éle- des’ tons de voix: on sentait l'excitation dans l'air, tant chez les enfants que chez les grands.

Pour les parents, c'était une émotion bien vécue que. d’entendre ieur enfant réciter un poëme, chanter un Frère Jacques d'une voix bien ferme, réaliser que la toute petite de l'an- née dernière peut mainte- nant jouer du piano ou danser. Elle se présente sur la scène cette année, pour offrir aux ‘grands’ le plaisir de la voir et de l'entendre.

Que les chants de Noël aient été exécutés par 2,3,4 voix ou par toute une cho: rale, c'était fête d'entendre tous nos jeunes nous dé- montrer ce qu'ils peuvent et savent faire.

L'effort que les profes- seurs de danses folkloriques fournissent depuis septem- bre, nous donne envie, à nous les moins jeunes, de nous joindre à nos jeunes et d'exécuter nous aussi, des danses aux rythmes de mu- siques exotiques, venant d'autres civilisations. On ne peut que féliciter les ma- mans qui ont pensé et ac- compli les nouveaux et si jolis costumes pour ces jeu- nes.

Mais l'atmosphère de- vient tendu. on attend le personnage principal de cet- te fête: on attend le Père Noël. Quand enfin, précédé du son familier des grelots de ses rennes, voilà le beau bonhomme de rêve !|! ‘‘Bonjour, Bonjour, les enfants! Ho, Ho, Ho! .

Que les petits croient ou non au Père Noël, soyez assurés qu'ils Y. croient auand il est là, parmi eux. ls savent très bien que le bon vieux a le coeur tendre et qu'il aime donner à tous.

Cependant, il serait peut- être bon, pour les années à venir, de faire participer le bon Père Noël à la séance qui précède la distribution des bas de Noël, afin que les petits bénéficient plus longtemps de sa présence parmi eux.

Un merci bien soécial donc à toutes celles et ceux qui ont participé à la réali- sation de cette fête si im- portante de Noël. II y a beaucoup de coeurs qui battent à Ste-Famille; c'est une paroisse bien vivante, enthousiaste, qui n'a pas peur de l'effort et des petits inconvénients pour prépa- rer une fête qui a fait plaisir à tous.

Héros de la fête.

SAMEDI, LE 13 JANVIER

Cours de ski alpin pour les

enfants de 5. à 12 ans,-

débutants, au Mont Nor- quay, de 10 heures à 11 heures, tous les samedis jus- qu'au 3 mars inclusivement

Cr

Inscriptions: 285-6625, le

| soir S.V.P.

Ciné-Club Jeunesse, présen- tation de la Merveilleuse Fable de Cendrillon à 14 heures, à l’auditorium de la Bibliothèque Municipale, 6e étage 616 Macleod Tr S.E.

| LUNDI, LE 15 JANVIER

Présentation du film ‘La vie devant soi’ avec Simone Signoret et Claude Dauphin à 20 heures au 6e étage, Bibliothèque Municipale, 616 Macieod Tr S.E.

SAMEDE, LE 20 JANVIER

Quilles à tous les samedis jusqu'au 21 avril inclusive- ment de 19 heures à 21 heures. Prière d'appeler Gaston Launière à 285-6625, le plus tôt passi- ble pour les inscriptions.

DIMANCHE, LE 21 JANVIER

Ski. de fond pour aduites de 9 heures à 17 heures (5 heures). Rendez-vous à Bow Falls, Coût: $10.00 pour le cours, $18.00 cours et location d'équipement. Le 2e cours aura lieu le 4 février. inscriptions: 285-6625, dès maintenant.

A e su AT ou ne aus

Cest comme ça que ça se

passe dans le temps des fêtes

“Monsieur, ‘Un tel” pos- sèdant trois quarts d'une acre, et ayant quatre fils, désire diviser sa terre en quatre lots égaux. Dessinez _la répartition.”

C'est ainsi qu'a débuté la soirée de Noël du mouve- ment des femmes chré- tiennes. Les réponses à cet-

te question ont été variées.

et ont fait preuvé d'imagi- nation. Mme Dorothé Dai- gneault fut la lauréate de ce concour

M. et Mme Roland Ricard, hôtes de la soirée

ont invité le père Rosario Simard, (aumônier du mouvement), à chanter. Avec son accordéon il a joué ‘Vive autres cantiques de Noël. Père Fernand Croteau avec sa belle voix riche nous a chanté ‘’Les verts sapins de la vallée.” Après avoir ex- ploité tous les thèmes de Noël nous avons reprit de plus belle d'anciennes chan- sons canadiennes françaises telles que le ‘‘Crédo du paysan”, “Amis parton sans bruit'".…

Les prix de présences ont

le vent”. et.

été gagnés par Angéline Le- duc et Elise Sabourin, :

Mme Marguerite . Rémil- lard a présenté, au nom du groupe, un cadeau à chaque pères. Puis.[a chanson reprit de plus belle et le goûter a été accueilli par. des appé- tits. aiguisés. En somme, une vrai fête de Noël !

Le mouvement des fem- més chrétiennes. tient à re-

“Mercier ‘tous ceux qui ont

Æourni de la nourriture des jouets” ouide |' ‘argent: afin de réparer: es paniers de Noël

‘pour tes fémilles défavori-

sées de Morinville.

etaE Bioncpalberrainod5danaier IPF ss 17

Louis & Yvonne Leclair

-. (939-2873 )

Mme Marguerite Rémillard est fière de présenter un petit cadeau au Père Fernand Croteau

Marguerite Rémillard et Marie-Paule Ricard présentent cadeau à leur aumonier

Père Rosario Simard

Une visite

VOEUX

MORINVILLE Noël ! Temps des fêtes, temps de joie, de réjouissance, temps de paix et de justice, temps aussi de réflexions... Je pro- fite de cette occasion pour remercier tous ceux qui de loin ou de près ont travaillé à l'avancement des objectifs

de notre association.

Je souhaite donc à tous un Joyeux Noël et une Bonne et Heureuse Année. Je vous dis à bientôt, au

plaisir de vous voir à notre -

assemblée annuelle du 3 fé- vrier.

Meilleurs voeux

MORINVILLE En tant que correspondants de Ja régionale Morinville - Legal, nous vous souhaitons, paix, santé et bonheur en cette

saison des fêtes. Nous espé- : rons que tous les jours de.

1979 nous aménerons, plus près de nos objectifs à l'ACFA et pour cela, épau-

lons nous, entraidons nous. :

Les quelques mois que

nous avons vecus parmi

. Vous, nous ont convaincus ‘que Morinvillé - Legal, Vi-

my . Clyde”et Picardville sont de beaux villages ac- cueillants et que la régiona- le a beaucoup de potentiel à développer. Marchons en avant harmonieusement.

Bien à vous,

Louis et Yvonne Leclair

LA

Pôle Nord

Après plusieurs répéti- tions les Chevaliers de:Co- lomb ont finalement pré- senter le conte du “petit renne au nez rouge”. C'est devant une salle de quaran- te enfants qu'eut lieu la représentation, dimanche après-midi le 17 décembre à Morinville.

Le père Rosario Simard a fait chanter les petits en les accompagnant piano. || ÿ avait une sorte d’anticipa- tion, d'éxcitement dans l'air et le point culminant de l'après-midi füt l'arrivée du Père Noël. Celui-ci, en- core essoûflé, pris le temps

de parier avec chaque enfant et leurs présenta une

belle petite statue et un bas plein de bonbons et de mandarines.

1

Le grand chevalier Paul Froment remertia ses con- frères. Nous aimerions faire de méme: “Merci d’avoir apporté aux petits enfants de Morinville un après-midi qui se distingue des autres. Pour l'an prochain, juste une petite suggestion: Ÿ aurait-il moyen d'insérer un peu de français quelque part?

A Paui, ses chevaliers et leur: famille nous. souhai- tons un Joyeux Noël et une Bonne et Heureuse Année,

n

COMENT SR RS S

Page T8 /

neural é Le-Franco-A

-# ue ce du

RED DEER —-Le 17 décembre, notre régionale organisait

un souper familial de Noël au sous-sol de l'Eglise Sacré-Coeur. Une quarantaine de personnes .ont répondu au rendez-vous. :

Après le souper, sur un air de Noël joué au piano par Mme Thérèse Beauchamp, le Père Noël fit son apparition et distribua aux petits des cadeaux. Ensuite les jeunes regardèrent deux cour’s films français.

Même si quelques familles sont parties tôt, celles qui sont restées se sont amusées et ont chanté des-chansons françaises et de Noël, accompagnées au piano par Mme Jeanne Touchette et à la guitare par M. Raymond Viel.

Nous avons eu le plaisir d'y rencontrer de nouvelles figures.

Merci à toutes les personnes qui ont organisé et aidé au souper et merci aussi à M. le curé Reynolds qui nous a prêté la salle.

Du tu. mesh si tbertain; le 5 janvier 1979-72

Mme Flieurestine (née Loiseau), épouse de M. Hector Boissonnault de Mo- rinville est décédée du can- cer le 18 décembre à l'hô- pital de St-Albert à l'âge de 74 ans. Mme Boissonnauit est née le 8 juillet 1904 à Morinville de pionniers du 19ième siècle, Marie-Louise Houle et Edouard Loiseau. Elle épousa Hector le 11 août 1925 à Morinville même, elle demeurait.

Elle laisse dans le deuil, outre son mari; une fille Antoinette f.4 trois fils: Léon, Roméo et Adoiphe tous de Morinville, ainsi que dix-neuf petits-enfants

SOUPER DE

NOËL

et six arrière petits-enfants. Un fils, Camille, l'a précédée le 23 décembre, 1964. A St-Albert sa mère, Mme Ma- rie Louise Loiseau-Lemieux âgée de 95 ans vit au Foyer Youville. Trois soeurs et un frère demeurent également dans la paroisse: Christiana, Froment, Jeannette Cham- pagne, Alice McDonald et Hector Loiseau.

Mille anecdotes démon- trent sa devise empruntée à Camus: ‘‘La générosité pour l'avenir c'est le don au présent’. Elle était femme forte, fermière ingénieuse, maman au coeur d'or, acti- ve dame de Sainte-Anne.

1. PTT an etre OT AA RER Tree opens

Pour elle, c'était les person- nes qui comptaient.

La famille désire remer- cier les personnes lui ayant témoigné amitié et sympa- thie au cours de cette épreuve; principalement Mgr Fernand Croteau, l'ab- Rosario Simard, curés de Morinville et l'abbé Georges Primeau qui l'ont si bien appuyée durant sa maladie et qui ont ensuite présidé aux funérailles. Les acoly- tes étaient Paul Maurice et Serge Froment, Joël Cheva- lier et Laval St-Germain. Un autre -neveu Richard

Froment-était le porteur de

‘croix. Les porteurs, ‘tous

Pierrette Bertrand

(343-1282 })

des petits-fils étaient Mar- cel, Raymond, Denis, Ré- mi, Réal et André Boisson- nault.

La chorale sous l'habile direction de Tarcienne Boisonneault f.J. tant au service qu'à la veillée mor- tuaire a chanté on ne peut mieux, l'espoir en la Résur- rection comme le suggère le renouveau liturgique.

La défunte a été inhumée le 21 décerbre au cime-

‘tière paroissial de l'Eglise

Saint-Jean-Baptiste de Mo-

_rinville.

Un nouveau "CARREFOUR"

a votre

service

Notre régionale a ouvert le 4 décembre dernier son bureau et un Carrefour au 4706 rue Gaetz.

Nos francophones ont pu s'y procurer des cartes de Noël, des disques et livres en français. Les heures d’ouver-

ture sont les lundis, mardis, mercredis, vendredis de 12

heures à 16 heures et le jeudi de 17 heures à-21 heures.

SAINT-

Les Kinettes

Meilleurs voeux

A tous nos amis-lecteurs, je souhaite une Bonne, Heureuse et Paisible année. Puisse l'Enfant de la Crèé- che, accorder à chacun de nous une âme plus magna- nime pour vraiment mieux aimer et apprécier tous nos semblables. -

Un coeur plus prompt à pardonner toutes les peines qu'on nous a faites.

Une volor ‘é plus ferme à en chasser les douloureux - souvenirs. Puissions-nous aussi réaliser pleinement qu'il y a toujours plus de joie à donner. qu'à rece- . Moir..

SAINT ALBERT Encore cette année. nos Kinettes ont livré au-delà de 100 “paniers de Noël”, aux fa- milles nécessiteuses de Saint-Albert.

Queiques organisations, dont le Cercle Francophone

N

Electricien qualifié

SUP

Pour tout besoin résidentiel, commercial et agricole.

et plusieurs marchands de la ville, ont apporté leur contribution pour le succès de ce projet.

Les Kinettes, remercient les uns et les autres pour leur générosité.

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Ve tre

B. Lucienne Brisson : ( 459-8046 )

COMMEMORATION

SAINT-ALBERT Les membres du comité coopératif culturel de

Saint-Albert ont posé au cours de l'été dernier, un geste de reconnaissance

filiale en affichant le protrait de M. Georges Chevigny, à “l'Information du : Touriste”.

M. Chevigny est le 12 octobre 1872, à Deschambault, Québec. Ses parents M..& Mme Louis Chevigny, sont venus s'établir à Saint-Albert le 23 juillet, 1880, alors qu'il avait huit ans. .

Georges a souvent fait preuve d'une grande bravoure,alors que très jeune, il s'engagea parmi les volontaires pour la garde de sa famille et des citoyens de la région de Saint-Albert.

L'histoire nous dit peu au sujet de M. Chevigny. On relate cependant que grâce à sa bravoure il a épargné la vie de plusieurs personnes. Bref, il a.été un héros du temps ! 5

Pour ceux que la chose intéresse, ‘l'Information du Touriste” est située sur le chemin Esturgeon. Quant à la bâtisse elle-même, elle a son histoire, puisqu'elle représente la première ‘“’baraque”’ qu'occupait la G.R.C. (Gen- darmerie Royale Canadienne) stationnée à Saint-Albert.

ACTIVITES

ARCANA AGENCIES (REALT Y) LTD. LUNDI LE 8 JANVIER 504 CAMBRIDGE BUILDING A EDMONTON, ALBERTA TSJ iR9 Assemblée du Cercle Fran- hs EE cophone au Father Jan

School, à 20 heures.

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Laurent Ulliac AACI

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Page 20 / Le France: -Albertain, le 5 janvier 1979

Se ÉRNA Ce Sn

_ Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes

Le Conseil et son Comité de direction

Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunica- tions canadiennes (C.R.T.C.), en vertu de la Loi sur la radiodiffusion de 1968, a pour mandat de réglementer tous les aspects de la radiodiffusion au Canada (radio, télévi- sion et télévision par câble) et d’en surveiller le déve- loppement. Il exerce aussi, depuis la promulgation en avril 1976 de la Loi sur le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications .canadiennes, la juridiction, exercée antérieurement par le Comité des télécommuni- cations de la Commission canadienne des transports, d'approuver tous les tarifs et frais et tous les accords d’interconnexion passés entre Bell Canada, la BC Telephone Company, les Télécommunications du CN, les Télécommunications du CP et Télésat Canada.

D'après la Loi sur le C.R.T.C., il est composé au plus de 19 membres, dont 9 à plein temps et 10 à temps partiel. Les membres à plein temps, nommés par le Gouverneur en conseil pour une période de sept ans, forment le Comité de direction: le président, deux vice-présidents et six conseillers.

Les membres à temps partiel, nommés pour une pé-. | riode d'un à cinq ans et venant de toutes les régions du Canada, jouent un rôle important dans l'élaboration des F décisions du C.R.T.C. qui ne peut, sans les avoir consultés, attribuèr, renouveler, modifier ou suspendre, par l’inter- médiire du comité de direction, les licences d’exploita- tion d'entreprises de radio, de télévision ou de télévision par câble. Le Conseil peut également les consulter sur des

L questions relatives aux télécommunications.

Sous réserve de la Loi sur la radiodiffusion, de la Loi

sur la radio et des directives que lui adresse de temps à

autre le Gouverneur en conseil, le C.R.T.C. doit régle-

menter et surveiller tous les aspects du système de la

radiodiffusion canadienne en vue de mettre en oeuvre la

| politique de radiodiffusion énoncée à l’article 3 de la Loi

sur la radiodiffusion, à savoir, par exemple, que la pro-

grammation offerte soit variée, compréhensive, de haute

qualité, dans les langues française et anglaise, et à teneur principalement canadienne. 7

Certains pouvoirs du C.R.T.C. sont exercés sur la recommandation du comité de direction. En vertu des pouvoirs définis par la Loi sur la radiodiffusion, le Conseil peut prescrire des classes de licences de radiodifussion et établir des règlements applicables à tous les titulaires de licence, quant aux normes des émissions diffusées, à l'attribution du temps d'antenne qui peut être alloué à la publicité et au temps qui peut être consacré aux émissions exposant la politique d’un parti, à l'activité des réseaux de radiodiffusion et d'autres domaines connexes. Il peut

f aussi annuler toute licence de radiodiffusion.

Structure et effectifs du C.K.T.C.

Le directeur exécutif

Le directeur exécutif planifie, organise, dirige et coordonne la formulation des politiques du Conseil. Il surveille la planification, la coordination et l’établisse- ment du calendrier d’un programme d’analyses, d’éva-

| luations, de recherches et de consultation en ce qui a trait à toutes les activités d'exploitation et d'administration qui influent sur la réglementation dela radiodiffusion et des télécommunications. De plus, il doit établir et entretenir des relations de travail avec les industries de la radio- diffusion et des télécommunications, aussi bien qu'avec les autres gouvernements et organismes. Responsable des bureaux régionaux actuellement en service à Halifax, à Montréal et à Vancouver, il s’occupe d'élaborer une politique quant à leurs rôle et fonctions.

La direction du contentieux

Le chef du contentieux est le principal fonctionnaire administratif du Président et du Conseil pour ce qui est de

l'élaboration et de l’application des politiques, program- .

mes, objectifs e et priorités.

La direction du contentieux donne des avis au Conseil et à son personnel sur toutes les questions relatives à l'interprétation et à l'application de la Loi sur le C.R.T.C. et autres lois fédérales et provinciales connexes, et sur les textes réglementaires qui en découlent. Ses conseillers juridiques avisent le Conseil des implications juridiques de politiques liées à ses responsabilités en matière de surveillance et de réglementation, mènent l’interroga- toire aux audiences publiques et donnent des conseils quant à procédure à suivre, représentent le Conseil au sein des comités interministériels, et sont responsables des poursuites intentées par ou contre le Conseil.

Le secrétariat général

Le secrétaire général, chargé de l'administration générale des directions de la gestion des licences et des audiences publiques, doit aussi planifier et diriger les débats des réunions du comité de direction et du Conseil.

La direction de la gestion des licences est chargée du traitement des demandes de nouvelles licences aussi bien que de la rmodification ou du renouvellement de licences

‘Les membres du C.R.T.C.

Comité de direction et membres à plein temps

M. PIERRE CAMU, Président

M. Charles M. Dalfen, Vice-président M. Jean Fortier, Vice-président

M. Roy Faibish

M. Jean-Louis Gagnon

M. Paul Klingle

Mme Jeanne LaSalle

Mme Pat Pearce

M. Réal Therrien

Membres à temps partiel

Mlle Marrianne Barrie, St. Thomas (Ontario)

M. Harry Bower, Regina (Saskatchewan)

M. Jacques de la Chevrotière, Québec (Québec)

Mme Edythe Goodridge, Saint-Jean (Terre-Neuve) Mme Rosalie Gower, Vernon (Celombie-Britannique) M. Jacques Hébert, Montréal (Québec)

M. Ronald A. Irwin, Sault Ste-Marie (Ontario)

M. Steve Patrick, Winnipeg (Manitoba)

M. R. MacLeod Rogers, Digby (Nouvelle-Ecosse)

M. Gilles Soucy, Campbellton (Nouveau-Brunswick)

de radiodiffusion. Elle s'occupe également d'évaluer et de percevoir les droits de licence des entreprises de radio- diffusion.

La direction des audiences publiques administre le.

mécanisme et la procédure des audiences publiques, élabore et coordonne les avis, ordres du jour et décisions,

- et publie les politiques et règlements. En outre, elle

planifie et établit le calendrier des audiences publiques et des travaux du Conseil; elle enregistre et contrôle les demandes et la correspondance relatives à la radiodiffu- sion et aux télécommunications; enfin, elle répond à la correspondance adressée au Président et au Conseil.

Cinq directions générales

La direction générale de la planification et de l’expan- sion de la radiodiffusion s'occupe de planification et d'études à court et à long terme en vue d'estimer l'impact des politiques et règlements du Conseil sur l’industrie de la radiodiffusion. Elle comprend cinq directions: Expan- sion de la télévision par câble; Elaboration des systèmes et évaluation technique; Expansion de la radio-télévision: Finances et corporations; Planification et. analyse économique.

La direction générale des télécommunications aide le - Conseil à s’acquitter de ses responsabilités en matière de

-nables,

réglementation des entreprises de télécommunications qui relèvent de la juridiction fédérale conformément aux dispositions de la Loi sur le C.R.T.C., de la Loi sur les chemins de fer et de la Loi nationale sur les transports. Elle comprend deux directions: la direction de l’exploita- tion et la direction de l'expansion.

La direction générale de la programmation fait des recommandatiôns au Conseil sur la programmation des réseaux et des stations de télévision, de télévision par câble et de radio M.A. (modulation d'amplitude) et M.F.

{modulation de fréquencé). Elle comprend deux direc-

tions: la direction des opérations, qui s'occupe des ac- tivités de programmation à la télévision, à la radio et à la

* télévision par câble; et la direction des politiques, qui

passe en revue et élabore des règlements et politiques relatifs à la programmation en rapport avec les pro- blèmes soulevés dans la correspondance et identifiés par le monitoring et des visites aux stations de télévision et aux entreprises de télévision par câble.

La direction générale de Padministration, qui relève du Président,’ conçoit, met sur pied et coordonne un systèmé “complet de planification des ressources du Con- seil. Elle comprend les six directions du personnel, de la planification et des opérations financières, de l’informa-

tion, des services de.la gestion, de la vérification des |

rapports financiers et de l'exploitation, et des services administratifs. ,

La direction générale de la recherche étudie, évalue et prévoit les tendances et les facteurs de changement qui influencent l'ensemble du système canadien de la radio- diffusion, afin d’étayer l’élaboration des pratiques et des projets à long terme du Conseil. Ses principaux secteurs de recherche sont le contenu et les systèmes de représen- tation, les communications sociales, l'expansion in- dustrielle, les relations avec l'industrie et les prévisions technologiques. Elle administre le budget des subventions et des contributions à la recherche en radiodiffusion.

Activités publiques

En vertu de la Loi sur la radiodiffusion, le C.R.T.C. doit tenir des audiences publiques à propos de l’attribu- tion, de l’annulation ou de la suspension d’une licence de radiodiffusion. Ces audiences publiques tenues par le Con- seil dans les différentes régions du pays sont une partie essentielle de son mandat d’agence de réglementation. Elles sont aussi un forum le public est invité à présenter des interventions sur les demandes précises ou

les questions entendues.

En vertu de la Loi sur le C.R.T.C., le Conseil a la responsabilité de veiller à ce que tous les tarifs et les frais chargés au public ou à toute personne utilisant les ser- vices de télécommunications soient justes et raïison- et qu'aucune compagnie n'établisse une discrimination injuste, n’instaure ou n’accorde un avan- tage indu ou déraisonnable; il a également la respon- sabilité d'approuver tout accord conclu par les en- treprises de télécommunications en ce. qui a trait à l'échange de trafic et la limitation des responsabilités.

Dans le cadre de ses responsabilités, le C.R.T.C. a tenu du ler avril 1977 au 31 mars 1978, par exemple, de nombreuses audiences publiques à Victoria, Vancouver, Kamloops, Fort Chimo, Edmonton, Winnipeg, Ottawa, Toronto, Sudbury, Montréal, Monctôn, St. John's, Yarmouth et Saint John.

Pour illustrer les activités multiples du C.R.T.C., nous avons choisi deux cas précis: cette semaine, nous publions un résumé du rapport du Comité d'enquête sur le

service national de radiodiffusion établi le 14 mars 1977 |

par le C.R.T.C, à la demande expresse du Premier ministre P. E. Trudeau; la semaine prochaine, nous publierons un résumé de la Décision du C.R.T.C., en date du 10 août 1978, relativement à la demande de hausses tarifaires de Bell Canada.

(suite à la page suivante)

Ces textes sont fournis par le Secrétariat d'État

C.KR.T.C....

(suite de la page précédente)

Le Franco-Albertain, le 5 janvier "1979 / Page 21

Enquête sur le réseau national de radiodiffusion

Le Premier ministre du Canada invite le président du C.R.T.C., en mars 1977, à instituer une enquête sur Radio- Canada, parce qu’on a douté que ses deux réseaux remplissent leur mandat dans les émissions d’information et d’affaires publiques, et aussi à éclairer le gouverne- ment sur l’opportunité d’établir une Commission royale d'enquête sur l’ensemble des questions relatives au ser- vice public de radiodiffusion.

Le Comité créé par le C.R.T.C. étudie les moyens que

À Radio-Canada met en oeuvre dans le domaine des nou-

velles et des affaires publiques pour satisfaire aux exigen-

ces de la Loi sur la radiodiffusion quant à la liberté d’ex-

pression, l'équilibre de la programmation, l'unité na- tionale et l'identité canadienne.

Hinvite le grand public à donner ses avis sur ces ques- tions; il charge un groupe de maisons de sondage de scruter les opinions des Canadiens à l'échelle nationale; il procède à des entrevues avec des gens du métier pour situer Radio-Canada par rapport à l’ensemble des sources d’information du pays: il écoute les bandes audio et vidéo et étudie les documents mis à sa disposition par Radio- Canada.

Radio-Canada en pleine crise .

Lorsque naît le Comité, la confusion règne à Radio- Canada, car l'élection de novembre 1976 au Québec avait constitué un choc violent pour de nombreux Canadiens qui, furieux de n'avoir pas été préparés à ce véritable tournant de notre histoire, se persuadèrent qu’une ten- dance pro-séparatiste de Radio-Canada avait contribué à la victoire du Parti québécois.

En 1977, des députés se demandent s’il est “payant”

1 de confier un demi-milliard de dollars à Radio-Canada; certains recommandent de n'en faire qu’un modeste orga- nisme de programmation. D'un autre côté, une partie du public (la presse en tête) s'oppose à toute enquête sur Radio-Canada, parle d’entrave à la liberté d'expression et

d'information au Canada. Même ceux qui la critiquent di- sent qu’elle leur appartient et qu’ils veulent la conserver,

maïs mieux adaptée à notre pays de diversité linguistique

et culturelle, et aux besoins des communautés éloignées qui doivent constamment lutter pour se faire entendre.

Besoin d'adaptation

Les deux réseaux nationaux sont déclassés par leurs concurrents privés: le réseau CTV attire 32 p.c. de l'auditoire anglophone contre 22,5 p.c: au réseau anglais de Radio-Canada; le réseau TVA attire 56 p.c. de l’auditoire francophone contre 40 p.c. au réseau français de Radio-Canada. Ils le sont aussi par la télévision améri- caine qui, au même titre que le cinéma, le livre, le sport américain, fait partie de la vie nord-américaine.

atteint de 18h à minuit

périences de télégraphie sans fil de Marconi à Glace Bay, en Nouvelle-Ecosse; il a été le premier pays à utiliser la

radiodiffusion, à établir des communications radioélectri- |

ques interurbaines et à installer un système de communi- cation par micro-ondes; plus récemment, il s’est placé à l'avant-garde de la technologie des télécommunications par satellites avec la série Anik et le satellite Hermès.

Un coup d'oeil sur la carte du Canada explique cet in- térêt: un pays immense, difficile d'accès, avec une répar- tition démographique inégale, la majorité de la population se concentrant sur une étroite bande de terre collée à la À frontière américaine. Seules la radio et la télévision de Radio-Canada peuvent donner aux Canadiens le sens de : leur pays, combler les fossés qui séparent les anglophones et les francophones et donner une voix aux communautés

me men mnt nee ne nt MN ne mn mme nn EU ee mue mme num nou me

D ———— | Radio-Canada vs la concurrence | | Radio-Canada Réseau Radio-Canada Réseau | (français) TVA (anglais) CTV | | % de l'auditoire 10% 56% 22,5% 32% |

Le divertissement domine la télévision canadienne: les anglophones consacrent 76 p.c. du temps à regarder des émissions de variétés, dont les deux tiers sont d’origine américaine; les francophones y consacrent 68 p.c. du temps, dont 30 p.c. à des programmes d’origine américaine. Cette soif du divertissement supplante l’in- formation: l'anglophone moyen ne consacre quotidienne- ment que 24 minutes aux émissions d’information et 16 minutes aux nouvelles proprement dites; le francophone, 21 minutes aux émissions d’information et 13 minutes aux nouvelles.

éloignées, mais à condition que la Société parvienne À combler les failles entre ses réseaux français et anglais:et à mieux traiter, en particulier, ses bulletins de nouvelles et ses émissions d’affaires publiques. ‘à

Contenu des bulletins de nouvelles"

Le Comité d'enquête a analysé le contenu des bulletins de nouvelles de Radio-Canada, en tenant compte À de la distinction entre les nouvelles proprement dites qui doivent être normalement présentées sans commentaire }

Les émissions que regarde la population canadienne de 18 h à minuit

Au Canada français, écrivains, intellectuels et ar- tistes du spectacle savent depuis longtemps qu’ils L

agite les dangers de mainmise gouvernementale sur | | Radio-Canada à des fins partisanes. | % du temps d'écoute Population de Population de | des émissions langue française langue anglaise

Pourquoi maintenir Radio-Canada? | Sctonte genre : |

| de variété 68% 16% Selon le Comité, il serait aberrant, pour plusieurs | d’information 16% ou 18% ou | raisons, d'envisager l'abandon de ce que nous avons pour | (quotidiennement) 21 minutes/jour 24 minutes/jour | ! repartir à Zéro. | selon l'origine : | | canadienne 65% 29% |

américaine 35% 71% | - |

me ue ue ne Ce ne ne nn nt ne Une den un ne ne eee nee une dune nues nn ne Gt nt ne ne ne ane annee me mue nue one

remplissent une fonction sociale déterminée en contri- buant à donner forme à leur culture. La situation est plus difficile au Canada anglais, mais on y assiste depuis vingt ans à une véritable explosion culturelle. Radio-Canada doit tenir une place de premier plan dans cette double réussite, puisqu'elle emploie probablement plus de gens que tous les autres organismes culturels réuris.

De fait qu’au Canada les courants d’information ten- [dent à se concentrer le long des artères unissant les grands centres, tout point non directement relié à l’axe Québec-Montréal-Ottawa-Toronto est lourdement péna- lisé quant à sa représentation, et Radio-Canada demeure la source principale d’information pour les immenses régions moins peuplées du pays et pour les communautés francophones et anglophones isolées du Québec et des autres provinces.

La situation a atteint un point encore plus critique avec l'arrivée de la télévision par câble, qui a restreint la cote d'écoute de Radio-Canada au bénéfice des émissions américaines: les Canadiens consacrent 70 p.c. du temps passé devant le petit écran à des émissions américaines émanant directement de stations américaines limitrophes ou transmises par des stations canadiennes. Dans cer-

aux téléspectateurs est d’origine canadienne.

Enfin, l'enquête a révélé que le public fait plus con- fiance à Radio-Canada qu'à n'importe quel autre organe

tains grands centres, 20 p.c. seulement de ce que l’on offre

Les auditoires de Radio-Canada ont diminué presque en proportion inverse de l'augmentation de son budget. La

* Société se doit donc d'accorder la priorité à une ouverture

d'esprit plus grande envers son public, de briser l’impres- sion de monolithisme que symbolisent ses installations à Montréal (une haute tour bourrée d’administrateurs qui

‘écrase, en sous-sol, des rangées de studios peinent les créateurs) et, sans chercher à gagner les guerres des

cotes d'écoute ni vouloir à tout prix être le choix des masses, se souvenir que ce n’est pas le nombre de ceux qui écoutent ou regardent une émission qui compte, mais la valeur de celle-ci et la situation culturelle des auditeurs ou téléspectateurs.

La communication au service des communautés Le Canada a toujours reconnu l'importance fonda-

mentale de la communication dans son développement: au tournant du siècle, il a soutenu financièrement les ex-

e Le présent texte n'est qu’un résumé du rapport pré- ® esenté au Premier ministre P. E. Trudeau, le 20 juillet e 9 1977. Pour pius de détails, on doit se référer au texte , se original disponible aux Services de l'information du ® SCRT.C.. Ottawa (Ontario) KIA ON2, (819) 997-0313. .

et le plus objectivement possible, et les autres formes d’information parlée qui font place aux commentaires, aux opinions et même à l'engagement personnel, et qui sont destinées à stimuler dés débats publics sur des ques- | tions d'importance.

Son analyse a porté sur les différences de traitement des 1785 nouvelles diffusées aux réseaux français et À anglais pendant une période de 10 jours en mai 1977. Les ministres du Québec ont été alors mentionnés 145 fois dans À les journaux parlés et télévisés du réseau français, mais 8 fois seulement au réseau anglais. Les ministres fédéraux et provinciaux font moins souvent la manchette au réseau anglais que les ministres québécois au réseau français. Les journaux parlés anglais couvrent peu le Québec, compte tenu de son importance, mais en revanche ils ac- cordent plus d'importance que les journaux parlés français aux nouvelles d'Ottawa, et ils font part de la réaction des diverses régions du pays aux événements na- tionaux, ce que les journaux parlés français passent quasiment sous silence. Les régions limitrophes du pays (Colombie- Britannique et provinces de l'Atlantique) ont occupé moins de 1 p.c. des nouvelles au réseau français et moins de 2 p.c. de celles du réseau anglais.

Pendant ces dix jours, 73 p.c. des nouvelles diffusées à la radio et à la télévision concernaient quatre villes: Ot- tawa, Québec, Montréal et Toronto. _:

(suite à la page suivante)

Ces textes sont fournis par le Secrétariat d'Etat

Page 22 / Le Franco-Albertain, le 5 janvier 1979

C.R.T.C.

{suite de la page précédente)

Des 1785 nouvelles considérées, 259 avaient été dif- fusées aux deux réseaux. Il n’y aurait donc que 15 p.c. de recoupement entre bulletins français et anglais.

Cette analyse montre que les journaux parlés contri-

: buent peu à la formation de valeurs et de normes com-

| munes, qu’ils tendent plutôt à renforcer les différences en-

‘tre les groupes des deux langues. Du point de vue de l'unité nationale, la difficulté tient moins au contenu des journaux-parlés qu'à leur omission.

Le milieu de l'information

La Presse canadienne offre à tous ses abonnés un ser- vice en langue anglaise qui transmet les nouvelles na- tionales, provenant surtout d'Ottawa et de Toronto, et les nouvelles internationales que lui fournissent ses bureaux à l'étranger, l'agence américaine Associated Press et, dans une moindre mesure, l’agence britannique Reuters; un service qui donne des nouvelles provinciales recueillies chez les journaux membres et distribuées depuis les métropoles des régions; et un service en langue française qui, depuis son quartier général à Montréal, transmet aux abonnés francophones des dépêches de France-Presse ef,

| en version française, de Reuters.

Pour juger des conséquences de ce courant inégal | d'information, le Comité a chargé six journalistes de Van-

couver, Calgary, Regina, Peterborough, Québec et Monc-.

ton, de décrire le climat de l'information dans leur milieu. A leur avis, Radio-Canada s’acquitte assez bien de sa mis- | sion de rapprocher les régions, mais sans tenir compte que les Canadiens ont tendance à voir les choses d'un point de vue régional, et que les questions suscitant les débats les plus passionnés sont généralement d'ordre

| locafou régional.

Les contraintes

Radio-Canada distribue ses émissions par l’intermné- | diaire de 60 stations de télévision et 139 stations de radio. Les nouvelles nationales proviennent des salles de Mont- réal et. de Toronto, qui alimentent les réseaux français et | anglais respectivement: les stations appartenant à Radio- Canada sont obligées de présenter toutes les éditions na- ! tionales du journal parlé; les stations affiliées ne présen- l tent d'ordinaire que l'édition principale. Les reportages 1 d'événements régionaux ou locaux proviennent des salles de nouvelles et des correspondants de la plupart des villes Radio-Canada a des stations. Les bulletins de l'étranger ont plusieurs provenances: les bureaux de Radio-Canada à Washington, New York, Londres et Paris, ou ses correspondants spéciaux en Europe, en Afrique, au Moyen-Orient et au Japon; les reportages sonores et | visuels de NBC et de CBS; et les agences de presse Associated Press, United Press International, Americain Federated Press et Visnews.

b) Le système de la radiodiffusion cana- | dienne devrait être possédé et contrôlé | effectivement par des Canadiens de façon à sauvegarder, enrichir et raffer- mir la structure culturelle, politique, | sociale et économique du Canada. |

| |

(Loi sur la radiodiffusion, article 3b).

Radio-Canada ne prend pas position sur les événe-

ments ou les questions d'ordre public. Mais en matière de nouvelles proprement dites, les jugements qu’elle porte sur la sélection de l'information, l'importance à accorder aux nouvelles, l’ordre de leur présentation, etc., doivent être essentiellement les mêmes que ceux du secteur privé.

Organisme publie, Radio-Canada doit être neutre et ! impartiale dans la présentation des nouvelles, et exceller | par la profondeur et la qualité de ses reportages, mais elle { ne saurait avoir d'obligations particulières de faire de la

propagande pour les organismes ou les activités du gou- vernement.

C'est l'importance des nouvelles qui doit guider son choix, et non leur éclat, leur-intérêt, leur originalité leur valeur de divertissement.

Les émissions d’affaires publiques

Les nouvelles ne doivent pas s'accompagner de com- mentaire ou d’opinion, mais être situées dans un contexte permettant d’en saisir le sens. Ne pouvant trop présumer des connaissances de son auditoire, le iournaliste doit ex- pliquer ce contexte. Si son explication va droit au but, s'arrête la nouvelle et commence ce. que le réseau anglais appelle “current affairs”.

L'équilibre n’est pas, non plus, facile à réaliser, mais dès 1971 Radio-Canada s’est donné pour règle, au moins en principe, de ne pas porter de jugement éditorial, d'informer et d'éclairer en exposant divers points de vue, de servir d'agent catalyseur aidant à former un consensus sur les questions qui affectent notre avenir. Il ne saurait être question, selon elle, de prendre position parmi le vaste éventail d'opinions politiques qui agitent le Canada, son mandat d'unité nationale ne lui commandant pas de se rallier à une position politique quelconque dans le do- maine controversé des relations constitutionnelles fédé- rales-provinciales.

En réduisant ainsi la situation politique du Canada à

un débat constitutionnel fédéral-provincial, Radio-

Canada paraît certes imperturbable, mais on peut se demander si cet exemplaire sang-froid est signe de perspicacité ou de faiblesse.

Les sujets controversés

A titre d'organisme de réglementation, le C.R.T.C. tentait depuis 1968 de définir pour les radiodiffuseurs, relativement aux émissions sur des sujets controversés, des lignes de conduite alliant la liberté d’expression:la plus grande possible aux notions de justice, d'équilibre et d'impartialité. En juillet 1970, il concluait que “. .. l'intérêt du public et des radiodiffuseurs canadiens ne saurait être mieux servi que par l'examen honnête et ob- jectif des questions d’intérêt public et l'expression de divers points de vue. Les radiodiffuseurs doivent poser comme postulat qu'à ce stage de l’évolution des émissions d’information, le public est assez mür pour accepter et faire son profit de l'expression d’une variété d'opinions, puis dégager ses propres conclusions. On n’améliorera pas la qualité de la radiodiffusion canadienne par une réglementation excessive ou une interprétation restric- tive de la Loi sur la radiodiffusion.”

Qu’en pense le public?

Le Comité a utilisé deux moyens pour s'informer de ce que le public pense de Radio-Canada: il a chargé la

maison CROP de Montréal de procéder, du 25 mai au 22

juin 1977, à un sondage national comportant un entretien personnel d’une heure et demie avec 2400 Canadiens; et il a invité le grand public à manifester son opinion par écrit.

Selon le sondage, les Canadiens francophones et anglophones ont, à peu de chose près, les mêmes réflexes quant à la crédibilité, l'honnêteté des émissions, la fidélité aux objectifs et la qualité des réalisations de Radio- Canada.

Bien que la majorité des 41 p.c. de répondants in- formés de critiques formulées contre Radio-Canada aient plutôt tendance à les endosser, tous estiment qu'il est essentiel de maintenir un secteur public de radiodiffusion composé d’un réseau français et d’un réseau anglais. De 70 à 80 p.c. des Canadiens sont d'avis que les partis politi- ques et autres groupes peuvent s'exprimer par l'intermé- diaire de Radio-Canada; 60 p.c. pensent que Radio- Canada contribue à l'identité et à l’unité canadiennes, ceux qui ne partagent pas cette opinion étant surtout des agnlophones du Québec et de la Colombie- Britannique.

Anglophones et francophones ont porté des-jugements presque identiques sur la production de Radio“Canada:. ASSEZ de nouvelles internationales et nationales, sur

l'Ontario et le Québec, sur le séparatisme au Québec, sur lPunité nationale; mais PAS ASSEZ sur les autres régions, sur les minorités linguistiques et culturelles, sur le Canada français pour les anglophones, sur le Canada anglais pour les francophones.

De 70 à 89 p.c.-des répondants estiment que tous les moyens de communication disposent d’une liberté d’ex- pression au moins convenable, et tous réprouveraient

toute tentative gouvernementale de la limiter ou de con-

trôler l'information radiodiffusée, même en temps de crise. Queique 90 p.c. croient que les grands réseaux de télévision présentent honnêtement les informations, plus de 70 p.c. disent se préoccuper de l’objectivité de l’in- formation, en particulier à Radio-Canada, et 32 p.c. sou- tiennent que les opinions politiques personnelles des jour- nalistes influencent l'information à nos deux réseaux.

| d) La programmation offerte par le | | système de la radiodiffusion canadienne | | devrait étre variée et compréhensive et | | devrait fournir la possibilité raison- | | nable et équilibrée d'exprimer des vues | | différentes sur des sujets qui préoc- | cupent le public et la programmation | de chaque radiodiffuseur devrait être de | | |

des ressources canadiennes créatrices et autres.

haute qualité et utiliser principalémeni |

(Loi sur la radiodiffusion, article 3d)

Les réactions du public

Des 1212 lettres reçues du public, 244 accusaient le réseau français de Radio-Canada de parti pris dans sa programmation, 165 adressaient le même reproche au réseau anglais, et 99 disculpaient les deux réseaux de tout préjugé. Sur les 208 lettres parlant d’un préjugé sépara- tiste (165 pour le réseau français et 43 pour le réseau anglais), un quart relataient des faits précis, avec dates, identification des émissions, personnalités et incidents, les autres s’en tenant à des accusations globales. Un grand nombre parlaient de facteurs tels que sourires, in- tonations, accentuations, choix d'invités. :

Les correspondants de toutes les parties du pays esti- ment que la centralisation des opérations de Radic- Canada à Montréal et à Toronto explique en partie son inaptitude à refléter, comme il faudrait, toutes les facet- tes du Canada; les tendances séparatistes n'en seraient qu’un effet.

En somme, le courrier montre que le public veut un service d’information neutre et libre de toute domination politique, et un service décentralisé qui ne contribuerait plus à faire naître une forme de séparatisme régional.

Traitement des plaintes

Les 104 lettres de plainte (50 en français et 54 en anglais) mentionnaient 160 incidents précis: 51 du Québec, 27 de l'Ontario, 13 de la Colombie-Britannique, 5 des Prairies, 4 de l'Atlantique et 4 de localités non iden- tifiées. Les enregistrements fournis par Radio-Canada ont permis d’en vérifier 92. Après examen, le Comité en a retenu 25 portant sur des thèmes de propagande politique, de racisme, d'attaques contre des symboles ou institu- tions canadiens, de manque de représentativité.

L'analyse spéciale des 43 lettres formulant 58 plaintes contre le réseau anglais et 23 contre le réseau français a permis de voir comment Radio-Canada donne suite aux | piaintes qui lui sont adressées. Ces lettres avaient donné lieu à 55 démarches antérieures, dont la moitié auprès d’élus du peuple ou du Président de Radio-Canada, ies-

(suite à la page suivante)

Ces textes sont fournis par le Secrétariat d'État

Le Franco-Albertain, le 5 janvier 1979 1 Page 23

IC.R.T.C. .…

(suite de la page précédente)

quels avaient confié à d’autres le soin de répondre. Les plaintes ont fait l’objet de 112 transmissions, mais en dépit du grand nombre de personnes auxquelles elles ont été en- voyées, 8 des plaignants n’ont jamais reçu de réponse de Radio-Canada. Sur les plaignants auxquels on a répondu, un seul s’est déclaré satisfait, les autres considérant en général que les réponses reçues étaient sarcastiques, évasives ou de pure forme.

langues anglaise et française, au fur et à mesure |

|

| de radiodiffusion dans les

|

| que des fonds publics deviennent | |

e) Tous les Canadiens ont droit à un service | | |

disponibles. |

(Loi sur la radiodiffusion, article 3e) |

L’opinion des spécialistes

Le Comité a interrogé des personnes qui ont déjà oc- cupé des postes clés au service des nouvelles et des af- faires publiques de Radio-Canada ou ont bénéficié d’ex- cellents postes d'observation. Ces interviews ont fait ressortir qu’en période de grands bouleversements politi- ques et sociaux, Radic-Canada n’a jamais réussi à exer-

cer un vrai leadership; qu’elle n’arrive pas à ordonner ses

priorités de façon à fournir une image plus fidèle des réalités nationales; qu’elle à une attitude plus défensive que réceptive à l'égard du public; que sa supercentralisa- tion a produit une hiérarchie essentiellement rattachée au président à Ottawa, et deux quartiers généraux à Mont- réal et à Toronto qui ont tendance à déterminer les priorités en fonction de leur secteur; et que d'excellentes émissions ont tendance à se perdre dans une programma- tion stéréotypée, coulée dans le moule nord-américain.

Unité et identité canadiennes

Deux observations s'imposent au sujet du. mandat qu'a Radio-Canada de contribuer au développement de l’unité nationale et de refléter l’identité canadienne: au À Canada, unité veut dire que des gens aux vues, aux at-

titudes et aux antécédents les plus divers se sentent liés dans la poursuite d’une même cause et partagent une expérience commune, et la notion d'identité n’a rien de commun avec l’uniformité, car tous les Canadiens s’iden- tifient à une région donnée qu’ils ont le désir de faire con- naître au reste du pays par la voie de la radiodiffusion.

Pourtant, un examen des horaires d'émissions 1977 -

1978 du réseau anglais laisse croire que les régions du

Canada anglais, d’un océan à l’autre, n’existent que l'été.

Au réseau français, la vieille capitale produit à l’occasion

une émission mettant en relief les particularités de sa

j région, maïs, sauf cette exception, la participation régionale se limite à Ottawa, Toronto et Moncton.

Les deux réseaux consacrent rarement des émissions à l’autre langue et à l'autre culture. Le réseau français diffuse des versions post-synchronisées de productions de CTV Vancouver, de l'OECA (télévison éducative ge l’On- tario) et d’un producteur indépendant; à l'exception du téléjournal, deux émissions seulement (Le “60” et ‘Le Pour et le Contre”) montrent à l’occasion le visage du Canada anglais. Au réseau anglais, l'élection du 15 novembre 1976 a suscité un vif intérêt à l'endroit du Québec et quelques émissions (“The Watson Report”, ‘La Pierre”, etc.) ont fait mieux connaître cette province au reste du pays.

Les deux solitudes

Au manque d’intérêt de chacun des réseaux envers les régions et l’autre groupe linguistique, s'ajoutent des

différences de points de vue, d’attitudes et de méthodes de travail entre les journalistes francophones et anglo- phones, divergences accentuées par la structure même de Radio-Canada la liaison entre les deux réseaux ne se fait plus qu’au niveau de la haute direction par l'intermédiaire du ‘Comité des Six”, qui comprend le président et le vice-président exécutif.

Le Comité d'enquête a pu déterminer achoppent les efforts de collaboration entre les deux réseaux: peu d'employés du réseau anglais parlant français, la langue de travail dans tout groupe est l'anglais et les membres de langue française sont forcés de s'adapter à cette situa- tion; la rareté d'hommes publics capables de s'exprimer en français se ressent dans les émissions de nouvelles et d’affaires publiques; présumant généralement de l’in- différence des auditoires à l'égard de l’autre culture, les réalisateurs ne sont guère disposés à produire des émis- sions qui, selon eux, ne susciteront que peu d'intérêt: l'organisation hiérarchique de la production étant conçue selon la langue, les réalisateurs, techniciens et scripts communiquent dans leur langue avec leurs supérieurs et ont peu de rapports avec leurs collègues de l’autre langue; très rares sont les réalisateurs de langue anglaise capables de travailler en coproduction, de même que les gens aptes à fonctionner au sein d’une équipe bilingue.

Radio-Canada et le Parlement

Le mandat confié au Comité d'enquête comprenait aussi l'examen de cette question: est-il opportun d'établir une Commission royale d'enquête sur l’ensemble des questions relatives au service public de radiodiffusion? Pour y répondre, le Comité s’est renseigné sur la manière dont Radio-Canada rend compte de ses activités au Parle- ment.

Une étude portant sur le mode de fonctionnement du Comité parlementaire sur la radiodiffusion, les films et les arts indique que ledit Comité ne peut exécuter con- venablement son travail, pour deux raisons: 1. Le peu de temps dont disposent les députés pour faire l'examen détaillé de l’état de la radiodiffusion, le Comité ne s’étant réuni que 51 fois pour une durée totale de 115 heures au cours des années 1967-1976; 2. L'absence de service d'ex- perts dont il aurait besoin pour effectuer des recherches. En conséquence, la participation des membres se limite à poser des questions superficielles pour donner suite aux plaintes de leurs électeurs, ou encore à donner une opinion générale sur les prévisions budgétaires.

Outre le Comité parlementaire, trois organismes assurent la liaison entre Radio-Canada et le Parlement.

D'abord, le Secrétariat d'Etat par lequel les divers organismes nationaux à caractère culturel, dont Radio- Canada, rendent compte à la Chambre des communes. En fait, le Secrétaire d'Etat n’est qu'un ‘‘messager’”’ de la Société Radio-Canada, et il respecte les règles établies de non-ingérence politique.

Puis, le ministre des Communications auquel incombe la responsabilité de l'aspect technique des communica- tions, et donc la radiodiffusion. Comme, cependant, cer- tains moyens de télécommunications sont de propriété ou de juridiction provinciale, il a se pencher de plus en plus sur les revendications juridictionnelles formulées par les provinces.

Enfin, la Loi sur la radiodiffusion de 1968 a créé le C.R.T.C. comme organisme chargé de surveiller et de réglementer l’ensemble du système national de radio- diffusion, tant publie que privé. Depuis 1976, il doit aussi réglementer les tarifs et certaines fonctions des en- treprises de télécommunications de compétence fédérale situées à Terre-Neuve, au Québec, en Ontario, en Colombie-Britannique et dans les Territoires du Nord- Ouest.

Les relations actuelles entre les divers éléments de la structure administrative dont relève Radio-Canada sont bizarres et paralysantes; il faudrait, semble-t-il, qu'un seul ministère ou organisme gouvernemental, embras- sant tous les aspects et toutes les fonctions de la com-

munication culturelle, soit le pivot d'une politique in- tégrée. Il faudrait également examiner de très près com- ment les agences culturelles pourraient établir des liens plus étroits avec le public en général, sans pour autant négliger l’activité culturelle.

Aucune recommandation dans l'immédiat

Le Comité croit que le statut actuel de Radio-Canada (organisme autonome qui n’a de compte à rendre à per- sonne) constitue un danger, puisqu'il suscite la mise en question de son existence même. Il recommande donc fortement, dans l'intérêt du public autant que dans celui de Radio-Canada, que l’on revoie sa structure administra- tive avant de mettre en place quelque groupe que ce soit pour procéder à une étude de grande envergure.

Sur le plan pratique, Radio-Canada est présentement composée de deux entités distinctes donnant quotidienne- ment la preuve qu'il ne s'agit pas d’une entreprise in- tégrée. Il faudra prendre au plus tôt des mesures pour que tous les employés de Radio-canada sentent qu’ils tra-

vaiilent pour une seule et même entreprise qui est à la fois

française et anglaise. Cette intégration devrait permettre

une décentralisation beaucoup plus poussée de Radio-

Canada.

( D être un service équilibré qui renseigne, éclaire et divertisse des personnes de tous âges, aux intérêts et. aux goûts divers, et qui offre une répartition équitable de toute la gamme de la pro- grammation;

(ü) être étendu à toutes les régions du Canada, au fur et à mesure que des fonds publics deviennent disponibles;

(ii) être de langue anglaise et de langue française, répondre aux besoins par- ticuliers des diverses régions et con- tribuer activement à la fourniture et à l'échange d'informations et de diver- | tissements d'ordre culturel et] régional, et . |

|

(iv) contribuer au développement de | l’unité nationale et exprimer constam- ment la réalité canadienne. |

(Loi sur la radiodiffusion, article 3g) |

| | | |

En conclusion, le Comité ne recommande pas la créa- tion d'une Commission royale d'enquête dans l'immédiat. Quand les questions qui se posent actuellement au Canada auront trouvé réponse; quand Radio-Canada aura eu la possibilité de montrer ce qu’elle peut faire de sa propre initiative; quand le Parlement aura repensé ses rapports avec Radio-Canada, les autres organismes culturels et les autres média; quand on saura mieux vers quoi évoluent les techniques, alors seulement sera nécessaire une en- quête approfondie qui fournira au Parlement une base lui permettant de légiférer en toute certitude.

Ces textes sont fournis par le Secrétariat d'Etat

g) Le service national de radiodiffusion II devrait | |

Page 24 7 Le: FrancosAïtieitain, .le.5 janvier: 1979.

dd, PUEIIC Works” Travaux publics.

=. 7 Canada

Canada

APPEL D'OFFRES

LES SOUMISSIONS CACHETEES, visant les entrepri- ses ou services énumérées ci-après, adressées à l’admi- nistrateur des services financiers et administratifs, région de l'Ouest, Ministère des Travaux publics du Canada, Pièce 200, 2e étage, 9925-109e rue, Edmon- ton, Alberta (tél: (403) 425-7083) seront reçues jusqu'à l’heure et la date limites déterminées. On peut se procurer les documents de soumissions aux bureaux annoncés ci-dessous, sur versement du dépôt exigible.

PROJET NO. 652143-DT-039 (METRIC)

ALTERATIONS IN CUSTOMS MAIL BRANCH SIR ALEXANDER MACKENZIE BUILDING EDMONTON, ALBERTA

Date limite: 11 h 30:a.m. (M.S.T.) 19 janvier 1979 Dépôt: Nul

Les documents de soumission peuvent être obtenus aux bureaux -suivants: Pièce ‘200, 9925-10 rue, Edmonton, Alberta; et peuvent être consultés aux bureaux de l'Association de Construction situés à Edmonton, Alberta. .

INSTRUCTIONS

La plus haute offre ne sera pas nécessairement accep- tée. -

Public Works Travaux publics Canada." :-

APPEL D'OFFRES

LES SOUMISSIONS CACHETEES, visant les entreprises ou services, financiers et administratifs, région de l'Ouest, Ministère des Travaux publics du

Canada, pièce 200, 2e étage, 9925-109e rue, :

Edmonton, Alberta (Tél: (403) 425-7083), seront reçues jusqu'à l'heure et la date limite déterminées. On peut se procurer les documents de soumissions aux bureaux annoncés ci-dessous, sur versement du dépôt exigible. ° co

NO. PROJET 034683

R.C.M.P. RADIO REPEATER SHELTERS

EDMONTON, ALBERTA

Date limite: 11 h 30 a.m. (MST) le 12 janvier 1979, Dépôt: $25.00

Les documents de soumission peuvent être obtenus aux bureaux suivants: Pièce 200, 9925-109e rue Edmonton, Alberta et les Bureaux de l'Association de construction situés à Edmonton, Alberta.

Si vous désirez plus de détails contactez: - M. HN. Kuchison Directeur du projet Tél: (403) 425-7193

INSTRUCTIONS

Le dépôt afférant aux plans et devis doit être sous forme d'un chèque bancaire visé, établi à l’ordre du Receveur Général du Canada. || sera remboursé sur réception des documents en bon état dans le mois qui suivra le jour du dépouillement des offres.

Le Ministère ne s'engage à accepter ni la plus basse ni aucune des soumissions.

_ LA CAISSE POPULAIRE DE ST-PAUL ASSURANCE-VIE SUR PRETS ET EPARGNES Tél: 645-3357

* G.L. Desaulniers, gérant T8N 1E4

| L'ASSS publics Public Works] Ev publics. Public Work |] ne Cänada INT

Canada

“APPEL D'OFFRES

‘LES SOUMISSIONS CACHETEES, visant les entrepri- ses ou services énumérées ci-après, adressées à l'admi-

Cahada :

-nistrateur des ‘services financiers et administratifs,

région .de l'Ouest, Ministère des Travaux publics du Canada, Pièce 200, 2e étage, 9925-109e rue, Edmon- ton, Alberta (tél: (403) 425-7083) seront réçues jusqu'à l'heure et la date limites déterminées. On peut se procurer les documents de soumissions aux bureaux annoñcés ci-dessous, sur versement du dépôt exigible.

PROJET NO. 652429-—001 STONY PLAIN, ALBERTA POST OFFICE RENOVATIONS

Date limite: 11 h 30 am. (MST), 11 janvier 1979. Dépôt: Nul a

Les documents de soumission peuvent être obtenus aux bureaux suivants:Pièce 200, 9925-109e rue, Ed- monton, Alberta; au Postmaster, Post Office Stony Plain, Alberta; et peuvent être consultés aux bureaux de l'Association de Construction situés à Edmonton, Alberta.

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Public Works .- Travaux publics *" Canada . : Canada

© APPEL D'OFFRES

LES SOUMISSIONS CACHETEES, visant les entrepri- ses ou services, financiers et administratifs, région de l'Ouest, Ministère des Travaux publics du Canada, pièce 200, 2e étage, 9925-109e rue, Edmonton, Alberta (Tél: (403) 425-7083), seront reçues jusqu'à l'heure et la date limite déterminées . On peut se procurer les documents de soumissions aux bureaux annoncés ci-dessous, sur versement du dépôt exigible.

NO PROJET 652003-002 : WESTLOCK ALBERTA POST OFFICE LOCKBOX ADDITION.

Date limite: 11 h 30 a.m. (MST) le 10 janvier 1979.

Dépôt: Nil

Les documents de soumission peuvent être obtenus aux bureaux suivants: Piece 200, 9925-109e rue Edmonton, Alberta; The Postmaster, Post Office Westlock, Alberta et peuvent être consultés consultés aux bureaux de l'Association de Construction situés à Edmonton, Alberta.

INSTRUCTIONS

Le Ministère ne s'engage à accepter ni la plus basse ni aucune des soumissions. .

Agence d'immeubles

Marcel Labonté | Bill Veness

Rés: 939-4241 Rés: 459-6137 Guy C. Hébert, Gérant

TOUS VOS BESOINS IMMOBILIERS

. 14 rue Perron °

St-Albert, Alberta Téléphoner au: 459-7786

Canada . Canada . : © APPEL D'OFFRES

LES SOUMISSIONS CACHETEES, visant les entrepri-- ses ou services énumérées ci-après, adressées à l’admi- nistrateur des services financiers et administratifs, région de l'Ouest, Ministère des Travaux publics du Canada, Pièce 200, 2e étage, 9925-109e rue, Edmon- ton, Alberta (tél: (403) 425-7083) seront reçues jusqu'à l'heure et la date limites déterminées. On peut se procurer les documents de soumissions aux bureaux annoncés ci-dessous, sur versement du dépôt exigible,

PROJET NO 652677-DT—001 CONTRACT CLEANING POST OFFICE SANGUDO, ALBERTA

Date limite: 11 h 30 a.m. (MST), 16 janvier, 1979. Dépôt: Nul

Les documents de soumission peuvent être obtenus aux bureaux suivants: Pièce 200, 9925-109e rue,

Edmonton, Alberta: et au Postmaster, Post Office Sangudo, Alberta |

INSTRUCTIONS

La plus haute offre ne sera pas nécessairement accep- tée.

Public Works Travaux public: -" Canada .. Canada

APPEL D'OFFRES

AVIS. DE CHANGEMENT DE DATE D'APPEL D'OFFRE AVIS est par la présente donné que la-date pour la réception des soumissions pour: -

CANADIAN GOVERNMENT ELEVATORS AUX ENDROITS SUIVANTS:

PRINCE RUPERT, B.C.

9900-P55/1

9000-E9/66 EDMONTON, ALBERTA

9000-C4/57 CALGARY, ALBERTA

9000-L29/18 LETHBRIDGE, ALBERTA .

9000-S25/44 SASKATOON, SASKATCHEWAN " 9000-M48/5 . MOOSE JAW, SASKATCHEWAN.

La date limite de réception à Edmonton de 2 heures (M.S.T.) le 15 janvier 1979, sera reportée au 1 février 1979 à 2 heures p.m. (M.S.T.}

NORMAND POIRIER

Téléphone Ré: 426-6320 Bur: 458-5141

116 Professional Building St-Albért, Alberta T8N 2X4

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